Campagne : Pour le maintien de la lumière - 3 - Fouille
à Aulis…sur Toc : Trouver Objet Caché au format
Contient : londres (8)(...) Dans le premier scénario, les investigateurs ont été contactés pour expertiser quelques objets archéologiques et ont constaté diverses fraudes et autres bizarreries. Ils sont alors partis pourLondresafin de trouver les responsables de ces trafics et démasquer les coupables... L'ordre de jeu des actes 2 (Aux portes des Pyrénées) et 3 (Fouille à Aulis) n'est pas fixé, mais il est plus que probable que la piste de l'archéologue Delattre sera explorée avant celle d'Aulis : la France étant sur le chemin entre l'Angleterre et la Grèce. (...)
Les investigateurs peuvent y trouver les photos du chef de l'expédition devant le site, de l'équipe de fouille devant les baraquements, d'une femme assez âgée portant des bijoux retrouvés sur place. Mais absolument rien de scientifiquement exploitable, comme si tout avait été emmené àLondresou à Athènes avec l'équipe. 5.3 : Le local de l'architecte, où son équipe s'efforce de tracer un plan le plus précis possible des vestiges découverts ainsi qu'un relevé de l'emplacement de chaque objet mis à jour. (...)
- dans la réserve (5.5) : Dans un premier temps, on constate que de nombreuses pièces n'ont pas encore été envoyées àLondres. Mais en les observant attentivement on remarque qu'effectivement ces pièces sont soit en piteux état, soit peu intéressantes : comme des caisses remplies de débris de tuiles, de tessons de poteries sans aucune caractéristiques ni intérêt artistique. (...)
Pour revenir en Angleterre, nos investigateurs peuvent emprunter, par exemple, le paquebot Adriatic : le voyage dure 10 jours, il coûte 60$ par personnes (175 $ en première classe). Arrivé àLondres, les investigateurs apprendront rapidement que l'archéologue responsable en second du site d'Aulis s'est suicidé en endossant toute la responsabilité du détournement d'objets d'art (c'est à dire que Conrad Deadstone st mort). (...)
Pour justifier ses soupçons auprès de Scotland Yard, Mac Ferman aura le rapport de la commission d'enquête (que les Pjs auront rédigé sur le bateau s'ils ont été prévoyant, sinon, ils devront passer 2 jours supplémentaires àLondres). De plus comme pour confirmer ces observations, les Pjs peuvent apprendre que Yardgrave n'a pas donné de nouvelles depuis plus d'une semaine, qu'une enquête de police a récemment prouvé qu'il a miraculeusement sorti de grosses sommes d'argent pour couvrir ses dettes de jeu. (...)
- Si on lui pose des questions sur le détournements des objets mycéniens, Sir Herbert dit ne s'être rendu compte de rien, qu'il devait trop souvent aller à Athènes ou revenir àLondrespour rendre des comptes à l'A.A.E. Ainsi, il campera sur ses positions et fera tout reposer sur les épaules de son second, qui malheureusement pour l'enquête, s'est donné à la mort (snif ! (...)
Si les PJ s'opposent violemment à lui, Sir Herbert met en place des gardes autour du char et il faudra passe à la violence pour faire admettre l'idée que ce char avec son précieux contenu ne doit pas être admis dans le manoir. Dans l'après-midi, les PJ peuvent au choix : reprendre la route vers le monde civilisé (Londres), cuver leur vin dans leur chambre, fouiller la chambre de Yardgrave alors qu'il est dans la cour en train de dessiner les pièces du char et de son harnachement. (...)
Fin de cette partie de la mini-campagne : les PJs peuvent gagner de l'expérience. Il ne leur reste plus qu'a retourner àLondres(s'ils sont vivants) avec les preuves contre Yardgrave : il a bien détourné des oeuvres d'art pour la vente et pour son compte personnel. (...)Ce scénario est la suite de « Trafic, reliques et panique... », et forme avec « Aux portes de Pyrénées » un triptyque d'aventures orientées vers l'archéologie. Alors que le premier de ces 3 scénarios développait plutôt le côté Trafic, nous insisterons ici sur le caractère précieux de certaines reliques, même si celles-ci ne tomberont finalement jamais dans les mains de nos investigateurs. (La trilogie est complète avec le scénario « Aux portes des Pyrénées », qui est d'ailleurs le seul à traiter ...