Shiroi Hane (3)
sur Pénombre au format (16 Ko)
Doji Emi-dono a les yeux bleus de nos ancêtres. Petite, elle était une enfant mignonnette mais sans réelle beauté et la jeune femme qu'elle est devenue en est la légitime continuité. Ses traits sont un peu trop nets pour être véritablement beaux mais ils possèdent une certaine symétrie propice aux jeux d'ombres furtifs, autour de ses yeux qui sont devenus deux magnifiques saphirs dans lesquels il doit être aisé de perdre son regard. Je suis persuadé qu'en ramenant en arrière sa longue chevelure ...Contient : détresse...les braseros ne peuvent réchauffer les coeurs. Deux de ces personnes font leur possible pour ignorer ladétressede la troisième. Une de ces deux personnes sait qu'elle va droit à la mort pour restaurer... [Détails]Servitude
sur Pénombre au format (50 Ko)
«Regarde» me dit mon père. Et je plonge mon regard vers le bas, pour contempler ce spectacle fascinant. Nous restons de longs instants à contempler ces merveilles en silence. 'Maintenant, regarde par ici' dit mon géniteur et je suis sa main vers le haut. Vers les étoiles qui contrairement à ce que disent mes frères et soeurs ne sourient jamais. Pas à moi en tout cas. Père ne dit toujours rien. Sans un mot, il partage avec moi les richesses insoupçonnées du Ciel et de la Terre. Il est de nature«Regarde»> ...Contient : détresse... Hantei et les autres nous regardent de loin, impassibles. Mirumoto lance un coup d'oeil empreint dedétressevers Agasha mais même celle ci ne peut que nous regarder d'un air perplexe. Je regarde Shinsei... [Détails]La mystèrieuse enfance du scorpion azur - Chapitre
1 : NaissanceContient : détresse...dans les yeux. Le karo en eut un frisson dans le dos. Le regard de Kyushu laissait paraître toute sadétresseet son désespoir. Confus, Takanabe se cabra et bafouilla quelques excuses. Mais Kyushu passa... [Détails]Le calme était retombé dans la pièce faiblement éclairée par quelques bougies. Kuchikina était là, allongée sur son lit toute transpirante. Elle haletait encore de ses interminables efforts. Son mari était venu lui tenir la main et la serrer tendrement de ses bras, dès que tout ce fut finit. Ils partageaient ensemble le supplice qu'elle avait enduré quelques minutes auparavant. Kuchikina pleurait de joie et de fatigue. Elle s'abandonna complètement à ses émotions et se laissa porter par le flot vertigineux ...