Crimes : Sous les pavés de Paris
sur Petit Peuple
Contient : gothique (4)...fond de d'empreinte digitale écarlate. Et en bas de la couverture, ces deux mots : « Roman-jeu ». Trèsgothique, et déjà nos sens déforment la réalité. Le ton est donné. « Crimes » n'est un simple jeu... [Détails]Je venais de pister la « Bête » durant de longues heures. Les nerfs à vif, je ne ressentais pas le froid mordant de cette nuit d'hiver. Un regard vers mon arme et je remarquais que ma main était agitée de soubresauts. Respirant à fond, j'essayais de calmer mon angoisse. Si seulement j'avais un verre de cognac sous la main... Le bruit métallique d'un objet chutant à terre résonna dans la noirceur de la ruelle dans laquelle la « Bête » était entrée, puis le bruit mat d'un corps tombant à terre. Je pouvais ...
Crimes : la fabrique de l'horreur
sur Le Ludiste
Contient : gothique...revue de 7 genres d'horreurs, de leurs clés et de leurs ficelles. On parlera successivement de l'horreurgothique, de l'horreur expressionniste, de l'horreur onirique, de l'horreur sadique, de l'horreur... [Détails]Paru grâce à une souscription, longtemps confidentiel, souvent comparé au grand ancien Maléfices, Crimes fait parti de ces projets sur lesquels on ne misai pas bien gros au départ. Hé oui ; c'est si facile de se tromper. Après un livre de base étonnant, l'écran vient confirmer la santé de la gamme et la pêche de l'équipe du jeu. Elle est bien finie, l'époque des livrets d'écran minuscules qu'on découvre avec surprise en dépliant le paravent. La fabrique de l'horreur s'étend sur 62 pages et propose ...
« Crimes », l'Écran – « La Fabrique de l'Horreur »
sur Petit Peuple
Contient : gothique...lire pour apprécier à sa véritable valeur. * horreur onirique : l'antithèse du conte de fées * horreurgothique: monstres et transgression des limites humaines * horreur expressionniste : où la frontière... [Détails]Je serai honnête avec vous, comme vous le fûtes jadis avec moi. Je me souviens encore de vos mots, lors de notre première rencontre : « J'ai toutes les raisons de vous hair. L'homme qui m'a appris votre langue était un prêtre français, tout comme vous. Il ne connaissait pas la morale, ma mère en aura fait les frais. De plus, je suis protestant, et je n'accorde pas le moindre respect à votre religion ». Comme mon sourire a dû vous surprendre et vous intriguer ! Vous le savez aujourd'hui, j'aime cette ...