Rituel sanglant sous une lune gibeuse
sur La Page à Papat au format (14 Ko)
Un pastiche des oeuvres de Howard, Moorcock et quelques autres. Un récit viril plein de sang et de fureur (à ne pas prendre au sérieux, bien sûr). Pour sûr, ça ferait un bon scénario, d'ailleurs vous avez de quoi l'adaptez à Warhammer à la fin. Leur seule vue aurait suffit à glacer le sang de n'importe quel guerrier. Il y avait là un ogre, vêtu de la célèbre tenue des mercenaires de Kislev aux couleurs flamboyantes, et bien que ses 2.50m était imposant, il était encore jeune. Il marchait d'un ...Contient : humain (5)...sûrement de leur but: la ville de Middenheim. Et à part la diligence de la compagnie du loup blanc, nul êtrehumainn'avaient croisé leur route. Soudain, au détours du chemin, ils tombèrent nez à nez avec... [Détails]La Fae et le Rat
sur Vox Ludi au format (25.7 Mo)
Contient : humain (3)...du Wissenland se faisait de plus en plus sauvage à mesure qu'ils s'enfonçaient dans l'automne. « Eh l'humain! T'as vu ? » La voix du nain le tira de sa rêverie. La route défilait toujours sous les roues... [Détails]La forêt étalait ses nuances automnales à perte de vue, et le déclin du soleil faisait miroiter les feuilles mortes comme autant de joyaux. Anton Maren oubliait de temps à autre que cette féérie chatoyante renfermait tant de dangers. Il s'abîmait alors dans des rêveries que peu d'hommes d'armes impériaux auraient comprises. Tant de teintes et ce parfum entêtant d'humus accentué par la bruine du soir faisaient de l'automne sa saison favorite. C'était en automne que les meilleures choses ...
L'Epopée de Thror (2) : Le Serment du Tueur
sur Arnheim
Contient : humain (3)...avait fait lâcher prise et Bror était mort par sa faute. Ce raisonnement aurait pu paraître absurde à unhumainmais pour un Nain, il était tout à fait plausible. L'honneur de Thror était entaché à jamais... [Détails]Le vent glacé qui soufflait sur les collines désertiques traversait facilement le léger manteau de lin de Thror, et rendait sa marche encore plus pénible. Il décida de s'arrêter au bord du sentier contre le tronc d'un vieil arbre mort, à l'abri de la morsure du froid. Depuis son départ de Karaz Lok trois jours auparavant il n'avait fait que cinq pauses très courtes et n'avait pas dormi. Il suivait volontairement ce sentier désert qui menait vers des contrées désolées afin de s'éloigner des routes ...