Shiroi Hane (2)
sur Pénombre au format (17 Ko)
Je m'arrête un instant, le temps de reprendre mon souffle et j'en profite pour regarder le paysage en contrebas. Le Village de la Demoiselle n'a rien de particulier si ce n'est que depuis douze longues années, il est le seul endroit au monde que je puisse appeler mon foyer. On prétend que son nom lui vient d'une jeune femme qui aurait passé des années à chercher son fiancé qui n'était pas revenu de la guerre à la fin d'un conflit oublié. On ne se souvient ni du nom ni de l'affiliation de la ...Contient : riches (2)...aurait alors aussitôt recouvré la mémoire et avant de repartir chez eux les deux amants auraient fait derichesprésents aux villageois vertueux et méritants. La réalité de cette histoire n'a jamais pu... [Détails]Shiroi Hane (5)
sur Pénombre au format (22 Ko)
L'air automnal venu du nord est froid mais j'aurai aimé qu'il le soit encore bien davantage. Que les vents m'amènent un air glacial et pur venu des lointains sommets, que nul mortel n'a jamais souillé de sa présence. Et que cet air pur ne soit pas une brise mais un typhon qui emporte au loin mon dégoût et ma tristesse, qu'il m'enlève moi aussi de ce château où l'honneur est si brocardé et travesti que tous les samurai présents se sentent mal à l'aise. Oui, vent du nord, si seulement tu pouvais ...Contient : riches...culminèrent avec le Second Jour des Tonnerres et l'abolition de la dynastie millénaire de Hantei furentrichesen bouleversements, mais il faut croire que l'avenir ne sera jamais avare de mauvaises surprises... [Détails]Kyuden Ikoma - La route de l'hiver
sur Pénombre au format (2.9 Mo)
Contient : riches...revenue depuis bientôt cinq ans, dans les faits tout restait à reconstruire. Les samurai étaient toujoursrichesmais moins nombreux qu'avant. Eux aussi avaient payé le prix fort car s'ils avaient été... [Détails]Il commence à faire rudement faim songea le vieux Takei en posant sa brassée de bois mort sur le sol. Il se redressa en réprimant un gémissement tandis que la vieille douleur familière lui poignardait les reins. Mais il lui faudrait encore marcher un bon moment avant de pouvoir enfin se reposer et manger quelque chose de chaud. Le froid devenait de plus en plus mordant et les derniers feuillages d'automne disparaissaient rapidement des arbres de plus en plus dénudés. Il avait commencé à ...