Récits nocturnes : 10 - La valse du temps
Contient : vendrediRécits nocturnes : 10 - La valse du temps Venise, leVendredi10 Février 1582. Je suis perdu. Je déambule dans les ruelles et sur les quais qui longent les canaux de la Sérénissime, je croise des... [Détails]Venise, le Vendredi 10 Février 1582. Je suis perdu. Je déambule dans les ruelles et sur les quais qui longent les canaux de la Sérénissime, je croise des centaines de personnes, dont beaucoup portent des masques et des habits colorés, mais j'ignore totalement qui peut bien se cacher derrière ces costumes. Alors que j'arpente le pont du Rialto, où se massent les curieux autour des nombreuses boutiques placées sur le pont lui-même, ...
Récits nocturnes : 7 - Comme un fétu de paille
Contient : vendrediRécits nocturnes : 7 - Comme un fétu de paille Près de Jaffa, leVendredi15 Juillet 1194. Quelques minutes encore, et nous partirons. Sentant l'anxiété de Thomas à quelques pas derrière moi, j... [Détails]Près de Jaffa, le Vendredi 15 Juillet 1194. Quelques minutes encore, et nous partirons. Sentant l'anxiété de Thomas à quelques pas derrière moi, j'avais précédé sa supplique. Comme toujours plus inquiet que moi des dangers que pouvait encourir son maître, sa fidélité sans faille et sa promptitude à me servir m'avaient tiré de quelques mauvais pas au cours des nombreuses années écoulé ...
Récits nocturnes : 1 - La croix, le sable, et le sang
Contient : vendrediRécits nocturnes : 1 - La croix, le sable, et le sang Jérusalem, leVendredi15 Juillet 1099. C'était comme une libération, un sentiment étrange qui me faisait oublier le vacarme alentour. Plus... [Détails]Jérusalem, le Vendredi 15 Juillet 1099. C'était comme une libération, un sentiment étrange qui me faisait oublier le vacarme alentour. Plus rien ne comptait, comme si ce moment devait demeurer à jamais en dehors du temps. La vue qui s'offrait à mes yeux constituait bien le spectacle merveilleux et époustouflant que j'avais attendu durant des mois et des mois, frôlant la mort à de nombreuses reprises, et tous mes compagnons n'avaient ...