Dieu et le Roi !
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Ce scénario a été élaboré pour la convention de jeux de rôles et de simulation organisée par la section jeux de rôles de la MJC de la fondation Lagrange à Quetigny près de Dijon en Cote D'Or. Cette manifestation eut une courte existence puisqu'il n'y eut que cinq éditions : en 1992, 1993, 1994, 1995 et 1996 toujours pendant les vacances de la Toussaint. Elle a connu cependant de suite une grande popularité et rassembla selon les années de 200 à 350 joueurs et joueuses. Cette convention comportait ...Contient : arbres (6)(...) C'est ainsi que Rabier fut forcé de suivre la populace du bourg jusque dans les bois. Dans l'endroit le plus sinistre qu'il n'aie jamais vu. Au milieu d'arbresmorts mais qui remuaient sans cesse... il vit se rapprocher cesarbresmonstrueux et les animaux accoururent... tous les habitants entonnèrent un chant diabolique et discordant et le conduisirent au centre d'une clairière illuminée par des feux. Un grand cercle de pierres taillées se trouvait là... de grandes pierres noires couvertes d'inscription étranges. (...)
Beaucoup d'habitants avant de mourir étaient portés dans le bois où ils prononçaient la formule. Ils pouvaient alors continuer à faire le mal, et protéger les bois entourant le village. Nombre d'arbres, buissons et animaux sont ainsi « habités » tout autour de Puy-Crapaud ! Dans une ferme près de Pouzauges un soir de 1842... « - Jean-Jacques, approches toi. (...)
» (Jet de santé mentale -1d2) « Les jardins du château avaient disparu : à la place on pouvait apercevoir un parc en ruine, envahi par les mauvaises herbes et les ronces. Lesarbresn'étaient pas entretenus. D'ailleurs les alentours ne me rappelaient strictement rien du superbe château de Cergy-Pontoise ! (...)
Je laisse votre imagination faire le travail mais sachez que le transfert des habitants a pu se faire dans n'importe quoi : de grosarbresà la puissance incroyable, des plus jeunes plus souples et plus vicieux... ou encore des buissons épineux, des ronces, une vieille souche qui pourrait courir. (...)
Du tien... ou de Notre ! » C'est ainsi que Rabier forcé [...] suivre les habitans du bourg [...] le bois où il vit lesarbres... [...] arrivé à [...] n'avons pour [...] pareil [...] ce voyageur naïf trouvoit [...] notre bourg, mais craignons la neige [...] maintenant qu'il doit être en confiance dedans le lit de l'auberge, nous allons pouvoir le prendre. (...)