Paris aux mains des Ventrues de Rome
sur Maëlkavian
Le Clan Ventrue est le clan traditionnellement dominant dans le Royaume de France et à fortiori à Paris. La mainmise Ventrue date de l'antique occupation de la ville par les Romains et plus précisément de Labienus, le général qui défit les troupes de Camulogène et offrit Lutèce à Jules César. La ville gauloise fut investie par les soldats, puis les commerçants, les architectes et les artistes. Bientôt, les imposants bâtiments de pierre et de briques rouges s'élevèrent au dessus des habitations sommaires ...Contient : dernier (5)(...) Le Clan Lasombra et l'Eglise : un nouvel opposant se révèle : Tilius qui avait encore peu fait entendre sa voix vit que la magnificence de Rome disparaissait sous les assauts barbares et en tint ouvertement rigueur à Cassius et surtout à Ecliastus. Cederniersentit que le frère de sang de Cassius pouvait bien contrarier les plans du Clan Lasombra et organisa la destruction de l'importun. (...)
La guerre entre Clans pour l'empire de Clovis se profile : Ayant identifié l'ennemi Lasombra, Alexandre prit ses dispositions et contacta Cassius, toujours par l'intermédiaire de Garibald. Cedernierprésenta un tableau sombre mais réaliste des visées d'Ecliastus et joua sur la nécessité d'unir le Clan contre l'expansion Lasombra. (...)
Garibald fit son possible pour le convaincre que cette optique était sans issue : les mérovingiens entraient dans l'ère dite des rois fainéants, sans pouvoir, sans avoir, sans espoir à vrai dire. Les relations entre Alexandre et Garibald se firent plus tendues car cedernierse sentait exclu des projets toujours plus profonds et secrets du roi. Endernierrecours Garibald essaya de montrer à Alexandre que le pouvoir allait désormais être aux mains des grands propriétaires terriens et des maires. Il insista sur le fait que les Brujahs avaient bien compris cette évolution et saisissaient leur chance. (...)
Le point final de cette orchestration magistrale fut le conseil de Senlis. C'est après la mort du jeune Louis V,dernierroi carolingien, que les grands décidèrent de la succession. Un oncle de Louis se posa comme successeur logique mais l'archevêque de Reims Adalbéron, judicieusement conseillé par les Toréadors, s'opposa formellement à son accession au trône. (...)