Jouer une Goule
sur Maëlkavian
Bienvenue dans le Monde des Ténèbres : On ne naît pas goule, une goule a en général avant d'en devenir une vie, une famille, des amis des occupations et des passions. Avoir une nouvelle vie, plutôt traumatisante n'est pas facile à gérer, surtout qu'il est préférable d'être discret sur celle-ci. Expliquez a votre femme que vous sortez toutes les nuits pour travailler... Etre une goule ressemble à une étape pour devenir véritablement un membre de la famille, et beaucoup de goules le désirent. Une vie ...Contient : amour (5)(...) Une goule reste la même chose que dans les éditions précédentes de Vampire, des humains dépendantes du sang de leur régnant, dépendante de sa présence et de son attention lié d'unamourartificielle et quasi indomptable. En plus de n'être que des junkies obsédés par le moindre désir de leur régnant. (...)
Le plaisir de boire le sang de son régnant apporte un plaisir bien supérieur a l'acte sexuel ce qui explique l'ambiguïté de loyauté/amourde la plupart des goules, avec les vices qui peuvent en découler tel que la jalousie/ possessivité... Il arrive même qu'une goule détruise une autre goule et parfois même le sujet de son obsession. (...)
La proximité avec des goules et souvent salutaires aux membres de ce clan, car elle leur permet souvent de ne pas perdre pied ni de vue leur humanité tant chérit, mais tenir tête aux désirs de son régnant n'a jamais allongé la vie d'une goule... Elles agissent ainsi souvent paramour. Devant des maîtres exigeants les goules Daeva ont bien du mal à trouver du temps pour leur propre repos ou pour continuer à vivre. (...)
La torpeur d'un régnant ou sa destruction suffit parfois a inféoder une goule, mais il arrive plus souvent qu'elles préfèrent la mort à la perte de son seul centre d'interêt et d'amour, la seule chose qui semblait la tenir à la « vie ». D'autres sont simplement abandonnées, ou échappent à leur destruction. Une goule qui se retrouve sans sa seule source de pouvoir, sa seule source d'amourn'a que trois possibilités. La plus simple étant la mort, elle se laisse dépérir ou préfère le suicide. (...)