L'Epopée de Thror (8) : Karak Grong
sur Arnheim
Contient : lis (3)(...) Personne n'avait osé raisonner le vieux Nain car tous savaient que sa fille était sa seule famille, et qu'il tenait à elle plus qu'à quiconque. Malgré son âge et sa grande fatigue, il avait tenu à accompagner Thror et les siens pour délivrerLis, et s'était équipé des armes et de l'armure appartenant à sa famille depuis des générations. La colère semblait cependant lui redonner des forces : il refusait qu'on l'aide à avancer et portait seul son propre matériel. (...)
- ' Pourquoi ne l'avez-vous pas tué, Thror ? demanda Thimli dont les yeux brillaient de haine. Ce Peau-Verte va d'abord nous mener jusqu'àLis, dit Thimbur. Sans lui nous n'avons aucune chance de retrouver ma fille.' On délia donc les jambes du pauvre Orque qui se demandait encore ce qui s'était passé et comment ces étrangers étaient arrivés jusqu'ici. (...)
grogna l'Orque, furieux d'être soupçonné. Prisonniers importants dans les salles du Haut.' Cette nouvelle semblait de bon augure, carLisavait due être traitée différemment des autres prisonniers qu'on enfermait habituellement dans les étages du bas de la montagne, à côté de la salle des tortures. (...)Au matin la petite troupe, accompagnée de Thimbur, prit le chemin de l'entrée du souterrain secret de Karak Grong. Personne n'avait osé raisonner le vieux Nain car tous savaient que sa fille était sa seule famille, et qu'il tenait à elle plus qu'à quiconque. Malgré son âge et sa grande fatigue, il avait tenu à accompagner Thror et les siens pour délivrer Lis, et s'était équipé des armes et de l'armure appartenant à sa famille depuis des générations. La colère semblait cependant lui redonner des forces ...