Le métal est meilleur que la viande
sur Black Book Edition au format (823 Ko)
Contient : empathie (3)(...) UN APERCU DU SYSTEME DE JEU : Les personnages sont définis par 9 caractéristiques, notées sur 10 (Intelligence, Réflexes, Technique, Sang-froid, Beauté, Chance, Mouvement, Constitution etEmpathie) ainsi que par des compétences, elles aussi notées sur 10. Un test est résolu selon le principe classique : Caractéristique + Compétence + 1D10, par rapport à un seuil de difficulté. (...)
Toutes ces classes possèdent des compétences spécifiques, ainsi qu'une capacité spéciale qui offre un petit bonus (ainsi, le « Sens du combat » du solo lui permet d'agir en premier lors des combats). Le score d'EMPathied'un personnage défini aussi son niveau « d'Humanité », qui descend peu à peu à cause des greffes de matériel cybernétique. (...)
Les critiques ont également eu la dent dure contre certains de ses déséquilibres, générés notamment par les règles concernant la cybernétique, véritables usines à gros-bills optimisateurs : on met tout enEMPathie, et en avant pour la cybernétisation à outrance. Beaucoup ont également critiqué les règles sur la Matrice, qui paraissaient trop simplistes, ou encore les règles sur les armures, capables de transformer un PJ bien équipé en char d'assaut... Difficile cependant de croire qu'il n'y avait que du mauvais dans le jeu. (...)Fin des années 80. Bousculant les classiques, plusieurs jeux ouvrent d'un seul coup les portes d'un nouveau type d'univers : nous étions entrés dans l'ère du cyberpunk. Retour sur l'un des jeux les plus emblématiques du genre : Cyberpunk 2020. Le jeu de rôle n'a évidemment pas inventé le genre « cyberpunk », qui apparaît dans la littérature de science-fiction des années 80. Les chefs de file s'appelaient alors William Gibson (Neuromancien), Bruce Sterling (La schismatrice), Walter Jon Williams ...