Bloodlust : Du sang et des (l)armes
sur Black Book Edition au format (892 Ko)
Contient : suppléments (3)(...) Ce qui frappa immédiatement les esprits, et assura une bonne part de la notoriété du jeu, c'était les couvertures signées Frazetta qui illustraient la boîte de base (rééditée plus tard sous la forme d'un livre unique à couverture rigide) et lessupplémentsde la gamme. N'oublions pas non plus les illustrations de Varanda, ou les nouvelles qui parsemaient le texte : rien de tel pour renforcer l'ambiance de ce monde sauvage. (...)
L'un des modes de jeu - expérimental, il est vrai - préconisé par l'auteur est même d'incarner directement l'arme elle-même, à terme, plutôt que le porteur (une technique courante était d'ailleurs d'incarner l'arme du porteur d'un autre joueur !). Outre ce gameplay très particulier, l'univers de Bloodlust n'a cessé de s'enrichir au fil dessuppléments. La culture des peuples de Tanaephis s'est affinée, tandis que de nombreux mystères trouvèrent leur explication, alors que d'autres firent leur apparition : qui a forgé les armes-dieux ? (...)
Tout le paradoxe des jeux à la mode Siroz... La gamme : - Flocons de sang : les contrées du nord, avec une présentation plus détaillée des Piorads et des Thunks, ainsi que le début de la grande campagne Eclats de Lune, qui se poursuivra sur plusieurssuppléments. - Poussière d'ange : le désert et les jungles du sud, les Batranobans et les Gadhars, ainsi que les règles sur les épices. (...)En cette année 1991, alors que les vampires néo-gothiques punks s'apprêtaient à déferler sur nos vertes contrées, les alchimistes fous de chez Siroz mettaient au point l'un des succès les plus retentissants du jeu de rôle français. Bloodlust était son nom, et celui-là aussi claquait au vent de la destruction comme un étendard funeste... Tout beau tout chaud : Né du cerveau du célèbre Croc, auteur prolifique de jeux à « concept », Bloodlust fit l'effet d'une petite bombe dès sa sortie, grâce ...