Humanydyne
sur DriveThruRPG Rapide JdR au format (1.9 Mo)
Contient : sepulcro (4)(...) « Beaucoup de gens disent que je hais les super-héros... Ce n'est pas vrai, vous savez... Bon, enfin... C'est en partie vrai... OK, c'est vrai» Marshal Law - chasseur de Héros. Comme d'habitude la nuit est chaude et douce à SanSepulcro. Accoudé au comptoir d'un petit café enfumé, près du cimetière géant de Calavera, je savoure un verre de mezcal en observant les processions portant leurs offrandes aux défunts. (...)
Dans n'importe quelle histoire, Suprêman se serait interposé à temps ou The Truck aurait fait une entrée fracassante avec sa peau de béton pour me sauver. Mais SanSepulcroest loin des Etats-Unis et de cette vision idéaliste. Je fus touché par une rafale d'uzi alors que je m'apprêtais à faire une injection sur un macaque. (...)
Du coup, ça limite pas mal les relations intimes... Mais lorsqu'un couteau vous transperce le bide ou que vous tombez du cinquième étage, il vous suffit d'absorber une poubelle ou un clochard pour vous remettre d'aplomb. Oui, j'étais ainsi. Une sorte de détestable parasite errant dans les rues de SanSepulcro, puant la mort et cherchant à fuir le regard des gens, de sa famille. Un super charognard ne songeant qu'à mourir sans le pouvoir. (...)
En sortant de ma tombe, je n'imaginais vraiment pas devenir fonctionnaire d'une agence gouvernementale, spécialisée dans l'interrogatoire d'un Mesmerio ou la planque devant le manoir du Docteur Queer. Depuis que je suis devenu agent d'Humanydyne, j'ai presque repris une vie normale à SanSepulcro. J'ai une nouvelle identité, un appartement sympa, j'hésite toujours à passer des mains aux fesses, mais j'ai une super collection de DVD et tous les bouquins de Tony Stark. (...)El Dia de Los Muertos : Le jour des Morts. « Beaucoup de gens disent que je hais les super-héros... Ce n'est pas vrai, vous savez... Bon, enfin... C'est en partie vrai... OK, c'est vrai» Marshal Law - chasseur de Héros. Comme d'habitude la nuit est chaude et douce à San Sepulcro. Accoudé au comptoir d'un petit café enfumé, près du cimetière géant de Calavera, je savoure un verre de mezcal en observant les processions portant leurs offrandes aux défunts. Les balcons des studios ...