Les Deux Garabagnes
sur L' Oiseau Oracle au format (627 Ko)
Contient : société (5)(...) De plus en plus d'étrangers occupent les auberges de la cité, on a même vu débarquer à Bragorlack les premières ambassades.SociétéLasociétégarabane est assez archaïque ; elle se constitue de deux ordres : ceux qui triment à travailler la terre, et ceux dont l'attribution est le port des armes et ce qui en résulte : faire la guerre et/ou maintenir l'ordre et la paix. La classe chevaleresque L'ordre chevaleresque est apparu au début du Troisième Âge. (...)
Petit à petit cette noblesse de fait devint héréditaire et c'est elle qui détient aujourd'hui le pouvoir politique et économique. Lasociétéchevaleresque s'est organisée selon les règles de la féodalité, les multiples liens qui unissent les vassaux à leur seigneur. (...)
Néanmoins tous essaient d'être fidèles à un idéal, à certaines règles de comportement social qui les démarquent du reste de lasociété. C'est ce que l'on peut appeler la «chevalerie». La Garabagne est par excellence le pays des preux chevaliers, celui des hauts faits d'armes et des aventures merveilleuses. (...)
Les plus téméraires s'aventurent parfois dans la forêt. Certains ne finissent jamais d'être en voyage, ce sont les chevaliers errants, en marge de lasociété, toujours en quête, toujours à la recherche de ce je ne sais quoi que poursuivent les voyageurs de tous les mondes. (...)Au Second Âge, l'île de la Petite Garabagne était la vassale d'un puissant royaume continental bien plus vaste qui se trouvait au sud et qui s'appellait fort justement la Grande Garabagne. Vint le réveil des Dragons, l'Âge du Grand Vent. Sous un vent dévastateur charriant les déchirures comme feuilles mortes en automne, le Grande Garabagne s'enfonça presque entièrement dans les eaux et la Petite, par un étrange mouvement de balance, fut surélevée de plusieurs centaines de mètres... Et, alors ...