Pour le Septième de tes Fils : première partie de la
Campagnesur Chez Demehet au format (87 Ko)
C'est il y a bien longtemps maintenant que je quittais mon village de Bondost pour partir sur les traces d'Auric, un de mes amis, mais aussi sur celles de mon frère, Ganalaan, mystérieusement disparu lorsque j'avais 12 ans. C'était en 1623 S. T.(Solara Tempora), à l'époque où la constellation du Dragon s'était éteinte du ciel de Glorantha, notre planète, phénomène que ni les sages ni les magiciens ne savaient expliquer... Les premiers temps de mes errances restent flous dans mon esprit et je ne ...Contient : vide (4), vidé(...) Fouillant l'auberge, nous trouvâmes dans sa chambre un coffret en ébène tapissé de velours rouge. Il étaitvided'un objet qui aurait eut la taille du poing. Nous nous recouchâmes et, durant notre sommeil, nous fîmes cette nuit-là un rêve commun : Nous tombons. (...)
C'est avec grande peine que nous nous débarrassâmes de la deuxième Wyrme, mais enfin, à l'aide de nos cordes, je passais à mon tour au-dessus duvide. Il nous fallait maintenant gravir la montagne et espérer découvrir à son sommet le village d'Ellientiel que Mirielle cherchait. (...)
La Porteuse et la mort d'Erian : Ce soir-là, nous étions assis au clair de lune, des cris de loups emplissaient levidede la nuit et nous savions qu'ils étaient là pour Erian. Esmaëlia et lui s'étaient d'ailleurs un peu éloignés de notre feu de camp ; Erian voulait confier des secrets à la jeune fille. (...)
Elle était assez vaste, le seul accès était un escalier en bois, probablement celui qui menait dans la grande salle du rez-de-chaussée. Une forte couche de poussière recouvrait le sol et la pièce étaitvidede meubles, exception faite de deux armoires alignées contre l'un des murs. Je pensais en moi-même que l'une de ces armoires pouvait éventuellement servir de couche au vampire et qu'il serait avisé de d'abord ouvrir les volets, puis, éventuellement d'en inspecter le contenu. (...)
Observant la pièce, ils remarquèrent avec effroi que la seconde armoire était ouverte et virent, dans le recoin le plus sombre du grenier, une main blanchâtre qui tenait mon corps suspendu dans les airs. Phenric, car s'était lui, éclata de rire, les menaça et disparut, laissant s'affaler mon corpsvidéde sang et marqué par la trace de ses crocs. C'est avec le soir qui suivit que je repris mes esprits, Ashra et Scott avaient acheté pendant la journée des décoctions et autres potions médicinales et nous avaient soignés, Garstal et moi-même. (...)