Pour le Septième de tes Fils : première partie de la
Campagnesur Chez Demehet au format (87 Ko)
C'est il y a bien longtemps maintenant que je quittais mon village de Bondost pour partir sur les traces d'Auric, un de mes amis, mais aussi sur celles de mon frère, Ganalaan, mystérieusement disparu lorsque j'avais 12 ans. C'était en 1623 S. T.(Solara Tempora), à l'époque où la constellation du Dragon s'était éteinte du ciel de Glorantha, notre planète, phénomène que ni les sages ni les magiciens ne savaient expliquer... Les premiers temps de mes errances restent flous dans mon esprit et je ne ...Contient : visage (5)(...) Mais cette blessure eut pour effet de m'échauffer le sang et, d'un coup magistral, je tranchais quasiment une jambe à mon adversaire. Celui-ci, malgré la grimace de souffrance que je pouvais lire sur sonvisage, poursuivit néanmoins le combat et je compris qu'il préférerait mourir plutôt que de survivre vaincu. (...)
Avant de partir, nous sollicitâmes l'autorisation de consulter l'Oracle, espérant un signe ou une information qui nous serait utile. J'eus la vision suivante : unvisagedécharné et haineux, enfoui sous un capuchon rouge. (Demehët) Je fus aussitôt convaincu de sa responsabilité dans malédiction qui frappait Kreiria. (...)
Cependant, feignant un moment de baisser sa garde, mon ami incita Demehët à se découvrir en l'attaquant d'une botte en avant, le frère de Raurarque plongea dans la brèche et, à l'instant où il le fit, je lus sur sonvisagequ'il venait de prendre conscience du piège... Scott tournoya de manière fort agile sur lui-même, bloqua l'attaque de son adversaire et se dégageant prestement lui enfonça l'Epée dans le flanc. (...)
Sa vitesse et le souffle que le battement de ses ailes engendrait, avaient fait se soulever un nuage de poussière qui me frappa violemment auvisage. Enfin, je sentis la chaleur intense qui nous entoura lorsque le feu dévastateur consuma en instant tout ce qui nous entourait, ne laissant plus que nous, petite tâche claire dans une plaine entièrement noircie. (...)
Fort heureusement, cela suffit et l'ignoble escargot chaotique s'effondra, relâchant une pestilence nauséabonde dans l'air. Nous abritant levisagederrière nos tuniques, nous attendîmes que cela se soit dissipé, puis à nouveau j'entamais la descente dans le trou. (...)