Kit de Démo : Les évadés d Alcatraz
sur CDS Editions au format (5.1 Mo)
Contient : bête (6)(...) Pour tout décor supplémentaire il y a une vieille balançoire rouillée qui grince un peu dans le couchant, un pick-up Ford qui a dû être d'un beau bleu dans les années 50 et une moto McCormack garée devant le logis. Le massacre de labête: Une fois entrés dans la masure, qui ne comporte que trois pièce succinctes (une principale, une chambre avec un lit pour enfant en plus et un coin pour ce qui est cuisine et salle d'eau), les personnages seront confrontés à une vision d'horreur et de sang. (...)
Un fusil repose sur le torse sans jambe du cadavre d'un homme (et les deux ou trois impacts notés sur un jet de Chouette+Recherche sur un SdD 10) ce qui laisse deviner qu'une lutte s'est déroulée ici. Labêteayant fait cela à apparemment dévoré le reste sur place au vu des morceaux. Une étude plus approfondie des plaies soulignera que ce n'est pas un animal sauvage connu qi a fait cela (Corbeau+Connaissance : Nature SdD 15) voire, que c'est le fait d'une morsure humaine ou du moins humanoïde (Corbeau+Connaissance : Médecine SdD 20). (...)
De plus, un jet de Loup+Recherche SdD 10, permet de suivre des traces de pas de l'extérieur, partant de la fenêtre de la chambre. Une fois dehors, il faudra suivre les traces, dans ce coin désertique et rocheux, de labêtequi détient peut-être le cadavre du contact. Il ne reste plus qu'une cartouche dans le fusil (mais on peut trouver une boite de 6 cartouches sous le lit en fouillant un peu) et sinon, les armes accessibles sont trois couteaux artisanaux en obsidienne. Traque de labête: On peut suivre labêtejusqu'à son refuge temporaire, à vingt minutes de marche du lieu du carnage, dans un amas rochers perdus au milieu d'une petite plaine balayée par un vent sableux. Pour ce faire, un jet de Loup+Recherche ou Connaissance : Nature SdD 15 est nécessaire. Déjà, du sommet de la colline rocailleuse, on entend des grognements sauvages. Puis labêtese découpe lentement à l'entrée de son antre, une petite grotte. D'elle, on ne devine d'abord que le reflet de ses yeux vitreux et blanc. (...)11 juin 1971 : Le soleil va se lever. Entre deux sommeils, vous vous souvenez des derniers événements. L'infirmerie. Vous y étiez, cette nuit-là. Malades, blessés ou apportant des soins, mais en tous les cas somnolents. Un bruit métallique s'est fait entendre. La silhouette d'un homme cagoulé, habillé entièrement de noir, disparaissant en courant au coin du couloir. Le bris de verre et la vague de chaleur. Puis, tout s'est enchaîné. Très rapidement, le bâtiment imprégné de moisissures et calfeutré ...