La Gestalt Drug
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Contient : trop (10)(...) Toutes les surfaces disponibles sont couvertes de graffitis, arabesques délicates ou fresques pornographiques. II ne reste plus aux PJ qu'à s'y aventurer et à stopper les deux déments, de préférence sanstroples abîmer... Kurt et Otto sont violents, mais aussi rusés. Ils connaissent parfaitement les lieux, et pourraient bien préparer quelques pièges meurtriers. (...)
Otto affirme qu'il cherche à se venger de ceux «qui l'ont tué ». En réussissant un jet de Psychologie, an peut avoir un doute: ils cabotinent un peutrop... II ne reste plus aux PJ qu'à appeler un fourgon. Ils peuvent ensuite revenir à leur déjeuner, la conscience en paix. (...)
Soit très jeunes, soit déjà à la retraite, ces bénévoles s'occupent des soins et de l'hébergement d'une cinquantaine de miséreux, entassés dans des piècestroppetites. Ils sont gentils, mais ne peuvent rien dire. Heinrich Zwik : II a déménagé sans laisser d'adresse. (...)
Si les PJ préfèrent l'arrêter, il panique - ce oui pourrait l'amener à faire des sottises (il a un Marxmen sous son lit). II est beaucouptroplâche pour résister à la police les armes à la main, mais par contre, il est suffisamment dégoûté de lui-même pour se suicider s'il se sent coincé. (...)
On retrouvera Hans « suicidé », pendu aux barreaux de sa cellule. Interférences : Quelques suggestions pour pimenter un peu une enquête qui sinon risque d'êtretropbanale * La brigade des Stups. C'est un organisme intersecteur, dépendant du SAD. Ses agents, incorruptibles et paranos, sont voués corps et âme à l'anéantissement des trafiquants. (...)
Une demande d'enquête officielle (une fois qu'on se sera arrangé avec les collègues du secteur concerné) déclenchera une jolie panique aux plus hauts niveaux de la hiérarchie. Les dirigeants acceptent (ils n'ont pastrople choix) et se préparent à livrer Guttmann, leur bouc émissaire. Ils vont même jusqu'à accepter d'engager un falkdoktor, qui pourra surveiller de l'intérieur mais à qui ils réserveront un accident mortel. (...)
Entre autres, il lancera un appel au secours direct à Fritz van Krug, le PDG du groupe. Pour peu que les Pi surveillent son téléphone, ils ont de quoi coincer ce dernier! S'il se senttropmenacé, Guttmann essayera de fuir. Arrêté, il nie tout en bloc, de manière plutôt enfantine: «C'est pas moi, c'est mon patron. (...)
La nouvelle drogue est commercialisée depuis maintenant plusieurs semaines dans tout Berlin, et commence à l'être à Paris et dans le Bénélux. Les premiers chiffres de vente sont tout à fait satisfaisants. C'esttropbeau pour durer: en dehors des PJ et des narco-gangs (qui n'apprécient pas de se faire doubler sur leur propre terrain), LRS va bientôt se retrouver confronté à un gros problème. (...)
A la longue, les PJ finiront quand même par y arriver (à moins que Guttmann ne donne l'ordre de le déménager, ce qu'il fera si les PJ le serrent detropprès. Dans ce cas, il filera aussi et essayera de s'installer à son compte). Le labo comprend trois grandes pièces : une zone de stockage (où il y a assez de gélules roses pour intoxiquer tout Berlin, et assez de matières premières pour en fabriquer encore autant), une zone de fabrication (pleine de machines bizarres, qui font un bruit assourdissant) et enfin le labo lui-même. (...)
Organisez une résistance acharnée des six gardes du labo (dans la confusion, ils ne devraient pas avoirtropde mal à convaincre leurs collègues que les soidisant policiers sont en fait des terroristes. Ca leur donnera le temps d'abattre les chimistes et d'incendier le labo. (...)Cette aventure est conçue pour un groupe de falkampfts relativement expérimentés, mais elle est assez facilement adaptable à Trauma, James Bond 007 et - pourquoi pas - Cthulhu 90. Action! Nous sommes le 20 mars 2068, quelque part dans les rues du secteur 18. II est midi. Après une matinée harassante, les PJ s'octroient une pausedéjeuner. Au moment précis où ils vont avaler la première bouchée... Coucou! Un appel radio urgent, qui leur est adressé: « Grave bagarre dans un squat, au 12 ...