Le livret de l'écran : Bien mal acquis…
sur Le Site des Mousquetaires de l'Ombre au format (6 Mo)
Contient : françois (2)(...) Quand le cornu n'a rien d'un diable : Tandis que les PJ entament leurs premières investigations, deux autres cadavres sont découverts, au matin du lundi 10 septembre, dans une des chambres de l'hostellerie La Licorne, rue du Père-François, à Dinan. Un interrogatoire serré du personnel de l'hostellerie permet d'apprendre que les deux victimes ont reçu la visite d'un homme : c'est Henriette, employée aux cuisines, qui, en échange de quelques sous, a donné un double des clés à ce visiteur qui se prétendait ami du couple et disait vouloir leur faire une farce. (...)
Les habitants, eux, entendent et propagent les rumeurs les plus folles : c'est la faute des catholiques, dont la morale s'amollit, celle des protestants, à qui ont ne peut jamais faire confiance, celle des Anglais, qui sont encore plus fourbes, celle des Espagnols, qui devraient rentrer chez eux, ou celle des sorcières du pays breton, dont on évite de parler à voix haute de peur qu'elles entendent. La mort en dentelles : Le mardi 11 septembre, c'est au tour de Jean-FrançoisTrublet, marchand de dentelles et fines étoffes, d'être retrouvé, proprement décapité, dans son échoppe, située rue des Merciers. (...)Le coeur de cette aventure met à l'épreuve les capacités d'enquêteurs des Mousquetaires de l'Ombre, plus que leurs aptitudes à manier la rapière ou à se suspendre à un lustre. Mais, n'ayez crainte, nous vous avons mijoté plusieurs scènes pour que les lames ne restent pas au fourreau. Pour tout savoir en quelques lignes Saint-Malo, septembre 1657. Une nuit, une bande de jeunes gens passablement éméchés (le fils d'un marchand de dentelles, un Jésuite et un officier) monte à bord d'un navire ...