Lorsque l'Afrique s'éveilla...
sur Alias Dedans
Avertissement: ce texte est librement inspiré (= limite pompé) d'un article de Mark Gellis paru dans Pyramid (par abonnement seulement), le 2 mai 2003. J'en ai repris ici les grandes lignes (une Afrique presque unifiée, alliée à la Prusse) et je les ai adaptées pour Castle Falkenstein. J'ai fait un rêve... Comme souvent dans le monde Falkenstein, à l'origine de cet histoire, il y a un homme exceptionnel. Essulu n'avait que douze ans lorsque son père, le grand roi zoulou Sassiki, l'emmena pour ...Contient : continent (3)(...) Il leur raconta ce qu'il avait vu de la nation des hommes blancs et leur parla de son rêve: faire de l'Afrique uncontinentrival de la Nouvelle-Europe. Vingt ans plus tard, Essulu, devenu roi, repart pour la Nouvelle-Europe; mais cette fois-ci, il a avec lui l'ébauche d'un concordat: un partenariat entre les nations africaines et les puissances européennes. (...)
Mais avant, il rencontre Essulu et saisit immédiatement l'avantage qu'il peut retirer d'un tel partenariat: ses rivaux coloniaux auront d'autant plus de mal face à des adversaires unis et organisés et l'Allemagne peut ainsi gagner accès aux matières premières ducontinentsans avoir à mobiliser des moyens démesurés pour le résultat. Le 14 mars 1863, l'Empereur Guillaume et son Chancelier Bismarck signent avec le roi Essulu Zulu Kwanake Mbuto, représentant de la Communauté des Etats d'Afrique, le Concordat de Berlin. (...)
Aventures : L'Afrique offre un environnement unique, où pour une fois ennemis et alliés se mélangent et font front commun pour une certaine idée ducontinent. D'un côté, les signataires du Concordat de Berlin, au premier rang desquels on trouve Prusse et Bavière, de l'autre les puissances coloniales, France et Grande-Bretagne en tête. (...)