Crimes : version amateur
sur Les Ecuries d’Augias au format (156 Ko)
A la veille de la guerre de 1870, l'affaire bouleverse la France. La famille Kinck décimée par un meurtrier cupide, reçoit des obsèques nationales. Jean-Baptiste Troppmann, un Cernéen de 21 ans, est condamné à mort et exécuté. 1869 : l'affaire Troppmann Tout commence le 20 septembre 1869, au petit matin. Un cultivateur découvre par hasard dans un carré de luzerne, entre le fort d'Auberviliers et la gare de Pantin (à 2 km de Paris), le corps d'un enfant. Bouleversé, il court avertir les autorités ...Contient : esprits (7)(...) Cependant, ce sentiment est en partie la cause de la chute inévitable de l'Empire, dont la pérennité n'est qu'un mirage. L'illusion ne dure que chez lesespritsles plus obtus et les plus doctrinaires de l'Empire britannique. La première puissance mondiale a de nombreux ennemis tapis qui ne rêvent que d'ébranler des pans entiers de l'empire colonial. (...)
Tous ces éphèbes excentriques, libérant leurs pulsions pour l'occulte, le sexe, l'astrologie ont un illustre exemple : le prince Edward, fils aîné de Victoria et à ce titre héritier de la couronne, qui mène une vie dissolue basée sur la chasse, le jeu et les réceptions. « Lesespritsles plus courageux qui doivent être la conscience morale de l'âme moderne et comme tels incarner sa lucidité concentrent en eux tous les maux, tous les poisons et tous les périls que seuls les Temps Modernes peuvent produire ». (...)
la hanche touchée, le combattant se plie de douleur et ne pourra RIEN faire l'assaut suivant 3. le coup étourdit l'adversaire qui doit récupérer 1D4 assauts. Pendant qu'il récupère sesesprits, tous ses scores (physiques et mentaux) sont divisés par 2 ! Fracture: 1. le bassin est touché : le combattant tombe au sol et ses traits physiques sont réduits de moitié. (...)
Il est vrai que, dès l'âge de sept ans, la Brinvilliers commença sa carrière criminelle, et qu'il a été permis à desespritssuperstitieux de redouter en elle un affreux démon incarné. Ce qu'il y a de plaisant, c'est qu'ayant été brûlée en 1676, après un repentir de vingt-quatre heures, le peuple chercha ses os le lendemain, et voulut en faire des reliques, en disant qu'elle était sainte. (...)