Hommes de Scène
sur Qin - la légende au format
«Hommes de scène» a été adapté à partir du scénario de L5A « Le dragon de l'Air, p. 2 : Le général d'Obsidienne», présent sur le site : SDEN (http://www.sden.org/-Livre-des-5anneaux-. html) et dont l'auteur original est Goethe. Il sera joué dans ma campagne Qin entre la deuxième et la troisième partie du scénario « Le Piège » du supplément Tian Xia Xianyang. Le document se décompose en trois parties : le scénario, les annexes et enfin une aide de jeu sur le théâtre en chine. Le scénario«Hommes> ...Contient : royale (4)(...) Les deux hommes habillés de chang pao gris très stricts les informent aussitôt qu'ils (les honorables bouchers de Quzhi) ont été convoqués, par son Excellence Le Ministre de la Guerre Feng Cheh, le lendemain à l'heure du chien dans La Vénérable Forteresse de Jade au sein de la CitéRoyale. Avant de repartir aussi rapidement qu'ils sont venus, les deux fonctionnaires remettrons aux PJ leurs laissez-passer pour le lendemain, frappés sur des lattes de bambou aux effigies du Ministère de la Guerre. (...)
Interrogés sur le motif de cette convocation, les deux subordonnés pourront simplement préciser qu'il s'agit d'une réunion de travail et que le Ministre a eut vent de leurs exploits et compte sur leur ponctualité. La Vénérable Forteresse de Jade se trouve au centre de la CitéRoyale, autour d'une grande place pavée de briques rouges et de marbre blanc appelée la PlaceRoyale. Le bâtiment abrite le Ministre de la Guerre ainsi que les nombreux généraux qui lui servent de conseillers militaires. (...)
Ce palais ressemble plus à un château fortifié qu'au siège d'un ministère, mais son apparence est principalement symbolique. C'est également au sein de ce palais que se trouve la grande caserne de la CitéRoyale, ou vivent et s'entraînent les soldats d'élite qui veillent sur le quartier. Dès leur arrivée devant les portes en bois massives et renforcées de fer de la forteresse de jade, les PJ sont interpellés par un groupe de soldats afin de contrôler leurs identités. (...)