Guide : Une fin de siècle à Paris
sur Les Ecuries d’Augias au format (68 Ko)
Le guide de Paris a été réalisé d'une manière originale pour s'écarter des sempiternelles descriptions, fastidieuses à lire. Nous tenterons d'embarquer le lecteur dans l'ambiance du Paris de Crime, de la Belle Epoque, et du cadre littéraire de cette fin de XIXème siècle. Plusieurs itinéraires vous permettent de suivre des protagonistes à travers la ville pour vous immerger dans leur aventure originale Un fil directeur relie toutes ces aventures : vous le trouverez en filigrane dans le récit et ...Contient : rencontré, rencontre (3)(...) Le MJ décide que ces multiples dérangements lui valent un séjour perpétuel dans un asile de fous. Cela n'explicite en rien son pouvoir de régénération. Edmond Fourastié arencontréun être monstrueux (inconnu à l'heure où je vous écris ces lignes) qui a fait de lui son Fils Démoniaque, « homme » à tout faire qui lui conféra par la même occasion sa Paranoïa maladive. (...)
Au nom d'un privilège médiéval que nos hommes de lois ont omis d'enlever, cette grâce libère le prisonnier et échappe donc au supplice de la guillotine. La seule condition était que larencontrefusse fortuite : nous doutons fort, pour notre part, que le cardinal voulusse se mouiller ses augustes pieds sans obscure raison d'obstruction à la justice d'Etat. (...)
Ce genre de cauchemar récurrent le guérirait probablement de la fée verte, du moins à brève échéance. Il avait cessé de fréquenter le Fantasia et sa fumerie d'opium après cetterencontredans le cimetière. Le dandy frenchie, perdu dans ses pensées, trébucha sur la base d ‘un lampadaire et se rattrapa in extremis à la barrière attenante. (...)
A deux pas de là... Rue de l'Ancienne Comédie Nous nous insurgeons sur ce lieu de pèlerinage qu'est devenu l'ancienne demeure dudit Eliphas le Mage, ancien prêtre défroqué du nom de Constant, dévoyé dans les arts diaboliques de la manipulation des esprits et dont larencontreavec le diable aurait sonné le glas en l'année 1875. Le Cénacle de chiromanciens qu'il a fondé effraye nos bons paroissiens. (...)