La Bretonnie
Contient : bataille (5)(...) Leurs armées amènent souvent les restes d'individus révérés dans des cercueils qui forme un autel de guerre spécial. Ils sont amenés à labataille, afin que les troupes puissent les voir et être inspirées par les grands saints et héros du passé. (...)
- Chevaliers rampants : Il s'agit de jeunes chevaliers, cherchant à se faire une réputation sur les champs debataille. - Noblesse d'épée : La noblesse d'épée rassemble les chevaliers des provinces rurales. - Chevaliers errants : Ce sont soit des chevaliers bretonniens envoyés par le roi pour aider les alliés de la Bretonnie ou des bandes de chevaliers dans une quête cherchant l'honneur, la gloire et une réputation en combattant pour de nobles causes dans des contrées étrangères. (...)
Les troupes citadines emploient la hallebarde ou l'arbalète et une armure légère. Les suivants des chevaliers sont les troupes personnelles amenées à labataillepar les chevaliers et autres nobles de Bretonnie. Ils portent la livrée de leur seigneur féodal qui peut être un des chevaliers combattant avec ses confrères ailleurs dans l'armée. (...)
Alliés : La Grande Armée de Bretonnie peut aussi inviter des forces alliées à venir au Tournoi (comme le Roi aime appeler les batailles). L'idée est qu'ils doivent regarder, admirer et applaudir la noblesse bretonnienne jouant Le jeu debataille. Cependant, ils peuvent participer s'ils le veulent, pour peu qu'ils ne volent pas trop de l'honneur. (...)
Parmi la noblesse égocentrique, la mode change en permanence. Peu d'entre eux seraient assez rustres pour aller à labatailleavec une bannière démodée : 'Oh mais Pierre, n'as-tu donc point réalisé que les griffons furent la mode de l'année dernière! (...)La Bretonnie est un vaste pays sur lequel la marque du Chaos est moins apparente que (par exemple) dans les forêts de l'Empire. La fondation du pays remonte à 1500 ans, lorsque Gilles le Breton, à la tête d'une armée recrutée dans la ville bouillonnante de Guisoreux, entreprit une campagne de conquête qui conduisirent à l'unification des nombreux petits états féodaux de l'ouest des Montagnes Grises et nord de la rivière Brienne. Elle devait durer 70 ans et c'est son petit fils, Guillaume Barbenoire ...