Les Cités de Bretonnie
sur Malpy au format (178 Ko)
Contient : royale (5)(...) Elle est traditionnellement perçue comme étant la capitale du royaume et bien que le Roy n'y réside plus, de nombreuses maisons nobles et une grande partie de l'administrationroyales'y trouvent encore. Le Gouverneur de la ville est Victoire Breville, Vicomte de Brossard. C'est un homme âgé et plutôt gâteux, auquel les intrigues des puissants échappent en général complètement, mais qui conserve sa position car il ne gêne personne. (...)
Quenelles : La grande cité de Quenelles, notoire pour la domination sans partage qui y est exercée par la noblesse, est peut-être aussi l'endroit de Bretonnie où le conflit entre les indigents et la classe dirigeante est le plus directement visible. Le Gouverneur est Edmond-Antoine Noblat de la Renardière, un cousin éloigné de la familleroyale. Depuis sa récente arrivée, il semble s'être étroitement lié à Calixte Tremaine, Vicomte de Quenelles, un grand propriétaire terrien qui est très influent dans la cité. (...)
L'Anguille abrite une petite garnison de soldats de métier, qui ont pour mission la défense des points stratégiques de l'enceinte. La majeure partie de LaRoyale, la flotte de guerre du royaume, et en particulier ses navires les plus modernes, est basée dans le port sous le commandement de l'Amiral Pierre Marouanec. (...)
Le Conseil des Guildes, dominé par les marchands de vin, s'occupe de gérer les affaires courantes. Cette noblesse dirigeante divise son temps entre ses somptueux hôtels particuliers de la PlaceRoyaleet ses châteaux de la vallée du Morceaux. Située plus au sud, dans une zone moins menacée, Bordeleaux n'accueille pas une flotte de guerre aussi importante que L'Anguille. (...)
Sous son impulsion, Couronne est devenue une importante place forte, ainsi qu'un centre militaire de premier plan. Les fortifications ont été modernisées et la ManufactureRoyale, une grande fabrique de canons et armes à feu, a été bâtie. Quelques habitants sont entraînés à l'usage des armes à poudre et une importante garnison de soldats de métier est répartie dans les forts qui entourent la ville. (...)« Je trouve que les descriptions des cites de Bretonnie faites ans votre manuel page 274 à 277 reviennent toutes à la même chose. La noblesse bretonnienne y est décrite comme décadente et corrompue, les pauvres y meurent de faim, de maladies et souffrent de toutes les calamités possibles sans qu'aucun noble ne s'en soucie, sans oublier le crime qui y parait bien plus répandu que partout ailleurs dans le Vieux Monde. Il me semble cependant qu'il manque beaucoup de détails qui seraient ...