Indépendant exiléen #1
sur Ballon-Taxi au format (2.7 Mo)
Contient : secrets (4)(...) Dans ce carnet, l'homme de l'ombre a eu l'imprudence de noter point par point ses activités et différentssecrets. Le calepin étant désormais entre les mains de l'Indépendant Exiléen, nous ne manquerons pas de vous tenir informés de ces faits à l'avenir. (...)
Peut-être ne savaient-ils pas qu'elle m'avait abandonné le calepin ou peut-être ais-je eu de la chance en m'éclipsant discrètement à l'opposé. Toujours est-il que l'Indépendant Exiléen ne tardera pas à se faire l'écho de cessecretsque d'aucuns souhaiteraient voir bien mieux gardés. Harl Herm, reporter pour l'Indépendant. Le Calepin Bleu Nos fi dèles lecteurs se rappellent certainement l'histoire de cette jeune prostituée Lonastre victime d'un homme d'Obsidienne et, découlant de ça, du précieux calepin à couverture de cuir bleu qui fut confi é à l'Indépendant Exiléen. (...)
La déliquescence de cette jeunesse n'augure sûrement rien de bon pour le futur de notre cité et comptez sur nous pour nous faire l'écho du moindre signe alarmiste. Mais le calepin bleu n'a pas encore fi ni de livrer sessecrets, d'autres révélations très prochainement. Harl Herm, reporter pour l'Indépendant. Insondables et Sinistres Mystères. (...)
Soyez parmi les premiers à présenter votre exemplaire de l'Indépendant Exiléen à votre fournisseur qui vous remettra un exemplaire du livre d'Isidore Baltek : « Les Chemins de la Conscience » où l'Ingénieur nous initie auxsecretsdes profondeurs insondables de la conscience humaine et nous explique comment l'idée de la Baltekienne lui est venue. (...)Un mot de notre directeur : C'est avec un plaisir non dissimulé que je vous livre ici notre cinquième compilation annuelle. Bien entendu, le choix fut diffi cile, parfois déchirant : notre Indépendant vit au rythme du souffl e d'Exil, et c'est avec la même fi erté quotidienne que je me saisis du premier exemplaire sorti des rotatives. Il n'y a pas, à mon sens, de « petites histoires » ou de « nouvelles insignifi antes ». Notre cité vit, respire et frisonne et notre journal s'en veut ...