Realms of Power: Faerie
Contient : histoires (3)(...) Les auteurs ont mis un point d'honneur à bien différencier les fées des créatures magiques. Ainsi, elles sont, pour résumer, forcément liées à deshistoires(des contes de fées, donc) impliquant des humains (alors que les créatures magiques se battent l'oeil d'interagir avec ces derniers), dont ils tirent leur Vitalité. (...)
On n'évite pas la création de persos féeriques (PJ et PNJ) et son cortège de nouveaux vices, vertus et pouvoirs ; ni le bestiaire féerique (très fourni et historiquement rigoureux). Le dernier chapitre est consacré à la confection d'histoiresféeriques. Il y a des choses à piquer, mais c'est trop peu développé à mon avis. Par pitié, n'appliquez pas ces conseils à la lettre sous peine de construire des séries de scénarios stéréotypés et ultra-linéaires ! (...)
Je crois bien que je préférais les êtres, certes largement anachroniques, mais libres du carcan deshistoires, des éditions précédentes. Et l'Arcadie était un endroit plus fun, flute ! Un deuxième truc qui me chiffonne, c'est une incohérence entre les êtres féeriques décrits comme de purs esprits qui se matérialisent pratiquement par une sorte d'illusion solide (glamour) et les personnages de sang féerique. (...)Note : 2/5. Faerie conlut la tétralogie des Realms of Power. Bien qu'unanimement salué outre-Atlantique, ce supplément me laisse une impression mitigée. Les auteurs ont mis un point d'honneur à bien différencier les fées des créatures magiques. Ainsi, elles sont, pour résumer, forcément liées à des histoires (des contes de fées, donc) impliquant des humains (alors que les créatures magiques se battent l'oeil d'interagir avec ces derniers), dont ils tirent leur Vitalité. Les premiers chapitres ...