Le mystère de Roanoke
sur Solomon Kane au format (386 Ko)
Le mystère de l'Ile de Roanoke constitue sans doute une des plus grandes énigmes de l'Histoire américaine. Comme d'autres mystères du même style, ces événements inexpliqués ont donné lieu à toutes sortes d'hypothèses, des plus vraisemblables aux plus irrationnelles et l'histoire de la « colonie perdue » a laissé une profonde empreinte dans l'imaginaire américain - empreinte que l'on peut retrouver, par exemple, dans des romans comme Simetierre de Stephen King ou Le Rôdeur devant le Seuil de Lovecraft ...Contient : atmosphère (2)(...) Durant les deux années qui suivirent, aucun Européen ne foula le sol de Roanoake... Le Dévoreur est toujours emprisonné à l'intérieur du cercle de pierres qui se dresse au milieu du territoire interdit, une petite clairière située dans les profondes forêts de l'île et dont les limites sont clairement indiquées par des fétiches destinés à protéger les abords du lieu. En approchant de cet endroit, on ressent aussitôt uneatmosphèreétrange et inquiétante, renforcée par un silence anormal : aucun oiseau, aucun animal ne vit à l'intérieur du territoire interdit. (...)
On s'oriente alors vers un scénario d'ambiance et d'action, dans lequel la survie devrait constituer le principal objectif des personnages incarnés par les joueurs - avec, en complément, la possibilité de découvrir les secrets qui se cachent derrière le mystère de Roanoke. Une fois les aventuriers arrivés sur l'île, le meneur de jeu devra veiller à installer uneatmosphèrede plus en plus inquiétante, en créant un sentiment de danger croissant chez les aventuriers... et tôt ou tard, à cause de leurs actions (ou de celle d'un personnage-non-joueur imprudent), le Dévoreur sera libéré de sa prison... Seuls, les aventuriers n'ont pratiquement aucune chance de survivre à cette confrontation : leur seul espoir de salut réside dans les pouvoirs du sorcier des Roanoacs et ce dernier ne leur portera assistance que s'il les considère, eux aussi, comme de véritables êtres humains (et non comme des brutes arrogantes et cupides). (...)