Du principe de Cohérence : « Et si on jouait (parfois)
à Maléfices en campagne ? »Avertissement aux JOUEURS : Je vous préviens, c'est encore un article théorique, mais illustré d'exemples. Et c'est dommage, parce que si d'un côté cela éclaire le propos et le rend plus accessible pour tous ceux qui le lisent, force est de constater que d'un autre côté cela prive les JOUEURS de lire cet article dans son intégralité. Donc si vous êtes joueur exclusif, cessez votre lecture mais ne vous sentez pas frustrés : d'abord c'est pour votre plaisir ludique ; ensuite, nous vous avons ...Contient : moines (2)(...) A/ Une théorie : Il est une idée à laquelle je tiens beaucoup : Maléfices - et c'est en cela je pense qu'il a su séduire des Meneurs et des joueurs exigeants quant au role-playing -, est un jeu qui permet d'aller très loin dans l'interprétation d'un rôle et dans Je dis 'ses' personnages car [j'ai développé ailleurs->1' class='spip_out'>l'enrichissement progressif de ses personnages le fait qu'il existe des scénarios où, pour des raisons de chronologie (scénario situé en 1875, comme La Répoubelle nous applique) ou de background (« tous desmoines» dans Délivrez-nous du Mal , « tous des savants de renom » dans Le Montreur d'Ombres...), les joueurs ont le privilège de pouvoir incarner des personnages différents au sein du même jeu, et sans pour cela que leur personnage précédent soit forcément « mort ». (...)
De plus, très peu des scénarios situés dans cette période s'enchaînent ou peuvent s'enchaîner... * ceux qui exigent des personnages spécifiquement créés (moines, savants, paysans...) voire des personnages pré-tirés, certains scénarios imposant d'autres contraintes aux joueurs (une famille, un nom, un métier ou un passé par exemple. (...)