Du principe de Cohérence : « Et si on jouait (parfois)
à Maléfices en campagne ? »Avertissement aux JOUEURS : Je vous préviens, c'est encore un article théorique, mais illustré d'exemples. Et c'est dommage, parce que si d'un côté cela éclaire le propos et le rend plus accessible pour tous ceux qui le lisent, force est de constater que d'un autre côté cela prive les JOUEURS de lire cet article dans son intégralité. Donc si vous êtes joueur exclusif, cessez votre lecture mais ne vous sentez pas frustrés : d'abord c'est pour votre plaisir ludique ; ensuite, nous vous avons ...Contient : rencontré (3)(...) Ainsi, quand il revient au premier plan, l'introduction du scénario est-elle moins artificielle que le déjà pointé du doigt (et relativement détestable) « mais si, vous le connaissez, vous l'avez déjàrencontréà Paris... », que nous avons tous imposé un jour ou l'autre à nos joueurs qui, parce qu'ils sont sympas et qu'ils ont toujours grande envie de jouer à Maléfices, ont fait semblant de nous croire et sont partis, fiers paladins, sauver ledit PNJ. (...)
Il intervient en 1902 dans le scénario de Daniel Dugourd intitulé « Danse Macabre » . Les personnages l'ont donc déjàrencontréquand commence le scénario « Jack » (1904). Ici, il me fallait un personnage intéressé par les objets sorciers. (...)
C'est dans le même esprit que j'ai placé dans le même scénario, parmi les victimes des cambriolages londoniens, un certain... Aleister Crowley ! Si vos joueurs vont le visiter ils pourront dire « qu'ils ontrencontréun des plus grands, - sinon le plus grand ! - occultistes / mystificateurs (pléonasme ?) du temps ». (...)