Glissement progressif vers l'Irréel...
Contient : frères(...) On distingue nettement maintenant la personne, c'est un vieux monsieur, tout sec, tout vif, l'oeil pétillant de malice, il semble heureux comme un enfant et s'écrie d'une voix joyeuse, s'adressant à notre ami qui se trouve à l'autre bout de la salle : « Et bien mon cher Caton, je suis vraiment heureux de vous retrouver, vous et tous nos amis, car il semblerait que l'on ait encore besoin de nous ; Ah, c'est qu'on ne se passe pas aussi facilement du Club Pythagore.... N'est-ce pas, mes bien aimésfrères?' Un murmure d'approbation et de sympathie parcourt l'assistance, que l'on devine maintenant fort nombreuse. (...)« Lorsque le vieux monsieur s'éveilla au matin du mardi où commence cette histoire, il faisait gris et triste et rien dans le ciel nuageux ne laissait prévoir que des choses étranges et mystérieuses allaient se produire dans tout le pays » [1] Et pourtant pendant que le vieux monsieur versait un doigt de rhum dans son thé matinal il souriait, car il SAVAIT que dans quelques heures ILS seraient là et que tout pourrait enfin recommencer. Les grimoires allaient s'entrouvrir les formules secrètes ...