Namur
sur Eric Christ au format (283 Ko)
Namur, an de grâce 1136, au début de l'hiver. Le vieux comte Godefroid est très malade et aux dires des médecins, il ne survivra pas à l'hiver qui s'annonce rude. Son jeune fils Henri doit lui succéder à la tête du comté. La suprématie des Ventrues s'étend sur toute la ville et ses environs. Même les autres clans, Lasombras, Malkaviens ou Toréadors se plient à la volonté du seigneur Angus, chef du clan des Ventrues. Ce dernier craint pour la vie du jeune Henri. Il charge donc son bras droit Brenor ...Contient : barque (6)(...) Il descend dans la vallée, passant à travers les broussailles et le sous-bois pour aboutir sur les berges du fleuve où l'attend deux autres hommes (habits noirs et épées courtes) montant la garde près de deux grandes barques. Ils poussent labarqueet se laissant pousser par le courant, gagnent le centre du courant et disparaissent dans la nuit. Poursuite sur le fleuve : Labarquedescend le fleuve, poussé par un courant rapide. L'un des deux hommes tient la barre tandis que l'autre se saisit d'une arbalète. (...)
Vraisemblablement , cette arme appartient à l'ombre énigmatique. > Le même poignard est retrouvé dans labarque. Montaigle est une des vassaux les plus fidèles et les plus dévoués au comte de Namur. La présence de chevaux leur appartenant doit donc être élucidé. (...)
Ils ont ensuite longé les murs jusqu'à un petit bosquet où l'attendait un cheval (sorti une heure plus tôt des écuries). Lantennac a ensuite pris la direction du port où unebarquepréparée par Marcus lui-même l'attendait. Une patrouille revient de la ville, ramenant le cheval volé par le prisonnier. (...)
Ce qui s'est réellement passé : Un domestique à la solde de Marcus a effectivement drogué les gardes et fait sortir Lantennac du cachot. Il lui a fourni un cheval et indiqué labarqueprête dans port. Mais derrière lui, une ombre furtive les surveillait : Mossan. Il avait l'intention de délivrer Lantennac mais a été pris de vitesse par Marcus. (...)
Une partie des hommes inspecte les berges de la Meuse, en aval comme en amont tandis qu'Enguerand et Henri s'embarquent pour gagner l'autre rive avec une poignée d'hommes. Labarqueest bien de l'autre côté, dissimulé dans les roseaux. Des traces de pas sont visibles dans la boue de la berge, même à la lueur des torches. (...)