Namur
sur Eric Christ au format (283 Ko)
Namur, an de grâce 1136, au début de l'hiver. Le vieux comte Godefroid est très malade et aux dires des médecins, il ne survivra pas à l'hiver qui s'annonce rude. Son jeune fils Henri doit lui succéder à la tête du comté. La suprématie des Ventrues s'étend sur toute la ville et ses environs. Même les autres clans, Lasombras, Malkaviens ou Toréadors se plient à la volonté du seigneur Angus, chef du clan des Ventrues. Ce dernier craint pour la vie du jeune Henri. Il charge donc son bras droit Brenor ...Contient : terres (5)(...) », commence à pleurnicher le paysan. Faites ce que vous voulez de ces paysans mais n'oubliez pas que vous êtes sur lesterresde Godefroid de Namur et que Brenor vous a confié une mission. Vous entendez un bruit de chevauchée, plus haut, derrière le village. (...)
» Marcus : « Avec tout le respect que je vous dois, seigneur, je désire venger la mémoire de mon frère lâchement assassiner par ce démon. Vosterreset votre influence s'arrêtent au fleuve. Et même si cela doit me coûter la vie et mon honneur, je refuse de laisser Lantennac quitter cette clairière vivant. (...)
Bras armé de Tarpan, le rivale d'Octavius, il oeuvre pour faire mourir le jeune comte Henri. Son prix est le sang d'Angus lorsque les Lasombras de Liège envahiront lesterresde Namur et renverseront le pouvoir des Ventrues. Il suit la voie du Sang, comme la plupart des membres de son clan. (...)
Son plan est simple : faire assassiner Henri de Namur et faire porter la faute sur Octavius, son ancien rival et ennemi. L'héritier du comté de Namur mort, les mortels se battront pour posséder lesterresde Namur, déstabilisant le pouvoir des Ventrues qui se seront entretués avec les Lasombras d'Octavius. (...)
Très calme et réservé, il peut se montrer redoutable sur un champ de bataille. Il ne regrette qu'une seule chose : ne pas avoir participer aux croisades enterressaintes. Il sert donc Godefroid avec le fer et la foi. Philibert et Marcus : Sont les deux derniers chevaliers de cette main au service du comté. (...)