Mazarin est mort... empoisonné par la Fronde Grise...
sur Le Site des Mousquetaires de l'Ombre au format (3.7 Mo)
Contient : major (6)(...) Aussi, plutôt que de traiter de son trépas dans un scénario inflexible et que vous saurez bien construire à votre gout, nous vous livrons ici les éléments les plus marquants de l'action de le Fronde Grise contre le Cardinal qui, avec lemajorAzkabbar, est ou était leur principal ennemi. La Fronde Grise eut Mazarin pour « objectif » dès la fin de l'année 1657, lorsqu'il apparut que la troisième compagnie de mousquetaires enregistrait ses premiers gros succès et se montrait de plus en plus efficace dans la chasse aux évadés. (...)
L'affaire, connue sous le nom de « la petite mort du Roi » en 1658 après la victoire à la bataille des dunes, fut mise sur le compte d'une violente maladie. Les médecins royaux n'en vinrent à bout qu'aidés par des hommes duMajor. A partir de cette date, le cardinal Mazarin et lemajorAzkabbar mirent en place, à toutes les strates de la maison du roi, plusieurs niveaux de contrôles. Des membres de l'équipage du Galérion furent détachés dans l'entourage immédiat du jeune monarque pour surveiller, prévoir, goûter... Ils demeurent présents sous couvert d'une discrète garde suédoise extraordinaire et traquent sans relâche un éventuel individu sous influence. (...)
Ils furent attaqués par huit hommes qui, bien que humains, étaient sans nul doute à la solde de la Fronde Grise. Le Cardinal et leMajorne durent leur salut qu'à l'arme et aux compétences martiales de ce dernier. Le pistolet à rayons régla leur compte aux assaillants. (...)
Seul point heureux de cette tragédie, la courte durée de vie du poison empêcha une contamination plus importante. LeMajoret les médecins comprirent le déroulement des choses mais furent incapables de trouver un antidote. L'état de santé précaire du Cardinal ajouta à la difficulté à le soigner. LeMajorAzkabbar à juré à son allié d'arriver à faire cesser les activités d'Akhoraz. En mai 1661, les laborantins du Galérion réussissent à mettre au point un antidote. (...)Pour la Grande Histoire, le cardinal Mazarin est mort à la suite de maladies. C'est un homme usé qui est veillé sur son lit d'agonie. Usé par la vie et l'exercice sans partage du pouvoir, miné par une goutte terrible, ravagé par la gravelle et les coliques néphrétiques. Un homme pâle, les cheveux blancs, décharné, à qui il arrive de perdre l'usage d'un bras... Il est ainsi décrit par le doyen de la faculté de médecine plus de deux ans avant sa mort. C'est aussi une volonté de fer qui ne ...