Mazarin est mort... empoisonné par la Fronde Grise...
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Contient : roi (6)(...) On essaya d'abord d'écarter l'homme, de le discréditer : un Ro-vo Nakr parvint à prendre le contrôle mental d'une Dame de la Cour et, par son entremise, tenta de faire tomber des nièces du Cardinal dans les bras du jeuneRoi. La tentative ne réussit que trop bien et, après avoir écarté Olympe, une histoire d'amour naquit entre le souverain et Marie Mancini. Mazarin ne fut pas mis à mal, il dut même oeuvrer avec finesse pour faire admettre auRoique cet amour devait s'effacer devant la raison d'état. L'entremetteuse ne parvint pas à ses fins et, sous couvert d'ambassade, perdit sa place à la cour. (...)
Il lui fut confié la tâche d'empoisonner le Cardinal. Hélas pour la Fronde Grise, le violent poison toucha leRoi. L'affaire, connue sous le nom de « la petite mort duRoi» en 1658 après la victoire à la bataille des dunes, fut mise sur le compte d'une violente maladie. Les médecins royaux n'en vinrent à bout qu'aidés par des hommes du Major. (...)
A partir de cette date, le cardinal Mazarin et le major Azkabbar mirent en place, à toutes les strates de la maison duroi, plusieurs niveaux de contrôles. Des membres de l'équipage du Galérion furent détachés dans l'entourage immédiat du jeune monarque pour surveiller, prévoir, goûter... Ils demeurent présents sous couvert d'une discrète garde suédoise extraordinaire et traquent sans relâche un éventuel individu sous influence. (...)
Quel plaisir de voir évoluer les Mousquetaires de l'Ombre lors de la bataille des dunes pour ensuite dénouer l'affaire de l'empoisonnement dont leRoifut victime. Vous pourrez placer ici des scénarios à l'intrigue unique sinon simple mais amenant panache et importance. (...)Pour la Grande Histoire, le cardinal Mazarin est mort à la suite de maladies. C'est un homme usé qui est veillé sur son lit d'agonie. Usé par la vie et l'exercice sans partage du pouvoir, miné par une goutte terrible, ravagé par la gravelle et les coliques néphrétiques. Un homme pâle, les cheveux blancs, décharné, à qui il arrive de perdre l'usage d'un bras... Il est ainsi décrit par le doyen de la faculté de médecine plus de deux ans avant sa mort. C'est aussi une volonté de fer qui ne ...