Extrats de Sciences Forensiques & Psychologies Criminelles
sur Les Editions sans Détour au format (4.6 Mo)
Contient : visage (9)(...) L'inconnue de la Seine : Les cours de secourisme utilisent souvent des mannequins pour enseigner les techniques de réanimation. Le mannequin féminin, surnommé "Resusci Anne", a reçu de son créateur levisaged'une jeune femme décédée au 19ème siècle. Vers 1880, une jeune femme fut retrouvée noyée dans la Seine et son corps fut exposé à la morgue de Paris. Personne ne vint malheureusement l'identifier, mais l'un des employés fut touché par son beauvisagepaisible et son demi-sourire, au point qu'il en moula un masque mortuaire. De nombreuses copies de ce masque furent achetées comme objet de décoration par les parisiens, et cevisagedevint finalement une icône à travers toute l'Europe. On supposa que la jeune femme s'était suicidée suite à une déception amoureuse et elle fut surnommée "L'inconnue de la Seine". (...)
Mais cette inconnue passa réellement à la postérité dans les années 1960 lorsque le fabricant de jouets Norvégien Asmund Laerdal eut l'idée d'utiliser sonvisagepour créer une poupée à taille humaine pour les secouristes. Elle est toujours utilisée de nos jours. (...)
La seule allusion à son sort tragique fut des rumeurs au sujet d'une horrible chose, une sorte de ver géant, aperçu des semaines plus tard sur les versants de la montagne. Cette chose arborait sonvisage." Atlach-Nacha : "Le cadavre était couvert d'un matériau épais ressemblant à un enchevêtrement de fils mais aussi dur que l'acier et pourtant doux au toucher. Il y avait deux trous très fins sur sonvisage. L'intérieur de son corps semblait avoir été liquéfié et aspiré car il ne restait plus que l'enveloppe de ce pauvre homme, telle une coquille vide. (...)
Ses côtes étaient brisées en plusieurs endroits. Son crâne était fracturé et, lui aussi, corrodé par l'acide. Sonvisageet le devant de son corps étaient intacts, bien qu'enfoncés de plusieurs centimètres dans le sol. (...)
" Hastur : "Tous les os de son corps avaient été réduits en miettes et sa peau n'était plus qu'une énorme contusion, du sang violacé dégoulinant de sonvisage." Ghast : "Le cadavre semblait avoir été battu avec de lourds bâtons puis rongé par des animaux sauvages. (...)
" Ghatanothoa : "Son corps ressemblait à une momie millénaire, bien qu'il n'ait pas pu être mort depuis plus de quelques jours. Sa peau était aussi ferme que du cuir séché et sa chair aussi dure que la pierre. Sonvisageprésentait l'expression de la plus terrible peur." Gnoph-Keh : "Le corps était complètement congelé, aussi dur que la glace. (...)Sciences Forensiques & Psychologies Criminelles par Emily Tibbatts Avec des scénarios de Philippe Auribeau, Tristan Lhomme & Cyril Puig. Prise d'empreintes : Les techniciens de scène de crime photographient et relèvent des empreintes visibles (sanglantes, sur du verre, de la cire ou de la peinture fraîche, etc.). Mais ils cherchent également les empreintes invisibles sur les objets qui pourraient avoir été touchés (armes, interrupteurs, documents, sacs plastique, cartons, canettes ...