Extraits de Dementophobia
sur Les Editions sans Détour au format (3.1 Mo)
Contient : méthode (3)(...) Les indiens introduisirent une thérapie à base de bains de vapeur et d'un thé brûlant à base de gaïac apaisant. En 1917, Julius Wagner-Jauregg développa uneméthodede traitement des patients en leur inoculant la malaria. La bactérie responsable de la syphilis ne résiste pas aux températures supérieures à 41 °C atteintes par le corps lors des accès de fièvres provoqués par la malaria. Ce médecin viennois se verra attribuer en 1927 le prix Nobel pour cetteméthodeutilisée jusqu'à l'arrivée des antibiotiques. Idée de scénario : Une épidémie bénie Avant la découverte des antibiotiques, il existe un médicament dénommé Salvarsan, contenant de l'arsenic, développé par Paul Ehrlich en 1909. (...)
Si un médecin n'a pas d'indice concernant le traitement de la psychose de son patient et que ce dernier ne réagit à aucuneméthodegénérale, alors tous les médicaments, toutes les substances et tous les procédés possibles et imaginables qui ne tueront pas le malade peuvent être utilisés pour un traitement expérimental. (...)Dieu et, au lieu de recherches médicales, les érudits écrivent des traités concernant les propriétés de l'âme. Les moines et les prêtres, souvent les seuls érudits dans les environs, sont chargés de s'occuper des malades et en particulier des patients souffrant de maladies mentales. Les écrits de nombreux savants de l'Antiquité sont interdits par l'Église et les connaissances manquent pour traiter les affections. Les religieux attribuent les perturbations du comportement à la possession ...