Extraits de Londres au XIXème siècle
sur Les Editions sans Détour au format (28.5 Mo)
Contient : vestiges(...) Les environs de la capitale ne manquent pas d'attraits : Greenwich et son observatoire, Woolwich et son arsenal, le Crystal Palace, les palais d'Hampton Court et de Windsor... C'est également le cas du reste du royaume : ses comtés, ses côtes, ses cours d'eau, ses modestes montagnes présentent bien des paysages pittoresques. Et bien des lieux mystérieux, à commencer par desvestigesmégalithiques dont Stonehenge est le plus connu. Ces sites sont souvent réputés hantés par d'étranges créatures, et ils ne sont pas les seuls : à lire les écrits des folkloristes victoriens, les campagnes et même les villes d'Angleterre apparaissent peuplées d'une foule de chasses nocturnes, de croque-mitaines, de fantômes ou de fées dont certains habitants restent convaincus qu'ils existent bel et bien. (...)Préface : Le Londres victorien ne laisse pas indifférent ceux qui le visitent, c'est même tout le contraire : certains le considèrent comme la « Reine des cités », d'autres comme une « Ville monstre » ; Victor Hugo voit en lui la « Babylone noire » et Pierre Larousse, « le premier marché de l'univers ». Contrastées sinon contradictoires, ces opinions n'en sont pas moins toutes fondées, car elles sont le reflet d'une caractéristique frappante de la capitale britannique : elle offre en effet ...