Kit de Découverte : L'Univers de FNZ
sur JdR Editions au format (3.3 Mo)
Contient : crise (5)(...) ) agissaient parfois comme les zombis et attaquaient les vivants avant de retourner à un état normal une fois lacriseterminée. En moins de deux heures, près de mille personnes ont été tuées et les moins abîmées, elles aussi ranimées par le phénomène inconnu, avaient rejoint les rangs des morts-vivants. (...)
Bousculé par tous, le maire Beckman eut une idée ; pas forcément une bonne idée, mais un début de solution tout de même. Tous les vendredis soirs, Bruce et Gus vous font partager l'ambiance d'unecriseen suivant le développement de la nuit au plus proche de l'actualité: interviews dans la rue, actions stupides et souvent dangereuses! (...)
Ils sont accusés d'être responsables de la situation, ils tuent autant les vivants que les zombis, si ce n'est plus, et n'hésitent jamais à exécuter tout ce qui bouge sans sommation. Mais eux seuls ont la puissance de feu pour contenir unecrisemajeure, eux seuls possèdent des hélicoptères capables d'extraire les personnages du piège mortel que peut représenter un toit d'immeuble ou d'abri bus. (...)
GERER UN ZZ NE PREND QUE 2H Ce kit de découverte vous permet de jouer de «simples» résolutions de lacrisedu vendredi soir avec pour mots d'ordre : patrouillez, localisez le Zombi Zéro, détruisez-le et survivez si ça rate. (...)
Les problèmes à opposer aux joueurs pourront être de différentes catégories : principalement d'ordre stratégique (comment atteindre le ZZ ou comment le rejoindre sans risque), mais aussi d'ordre temporel (le ZZ est localisé dans un bâtiment fortement peuplé, il faut l'éliminer le plus vite possible sinon cela occasionnera des centaines de morts et engendrera unecrisemajeure) ou encore de l'ordre du roleplay (enquête auprès de personnages non joueurs pour localiser le ZZ, personnage non joueur bien vivant faisant obstacle ou cherchant à utiliser la brigade dans son propre intérêt). (...)LES MORTS QUI MARCHENT : Le jour où tout a commencé, personne n'y a cru. On a parlé de plaisanterie, on a parlé d'hystérie collective, on a parlé de secte, on a parlé de tout sauf de ce qui se passait réellement car personne ne voulait croire aux morts-vivants. Pendant presque quatre heures, de 21h04, début du phénomène, à 1h du matin, la ville américaine de New Stateford a vécu l'enfer. Les premiers morts surpris à se relever furent les corps enfermés dans les morgues, suivis de près par ...