La fille du désert
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Contient : méthode (8)(...) Ce n'est bien sûr pas le seul commerçant du village, mais il est clairement le plus riche et le seul à faire commerce d'épices. Pour libérer Kalesha, les personnages ont en gros trois solutions : Laméthodeviolente : en usant de leur statut de porteurs d'Armes ils peuvent tenter l'entrée brutale... Le souci c'est que dans l'espoir de grappiller quelques piécettes certains habitants pourraient bien avertir Mansour ou ses eunuques de l'arrivée d'étrangers et du fait qu'ils semblent comploter (peut-être même les aurat-on entendu). (...)
Quoi qu'il en soit, outre le petit palais fortifié et facilement défendable, les personnages devront affronter entre dix et quinze gardes (à ajuster selon le nombre de PJ). Tâchez tout de même de dissuader vos joueurs d'employer cetteméthode, ou alors soyez vraiment sans pitié. Laméthodefurtive : beaucoup plus intéressante en termes de survie, cetteméthodereste néanmoins risquée. Le plus simple dans ce cas est d'agir très vite car le plus gros risque pour les PJ est encore de se faire donner par les habitants... Si vos joueurs veulent tenter l'enlèvement de cette façon, ne lésinez pas sur les moyens et les descriptions (vous vous souvenez, je vous avais parlé de morceaux de musique au début...), il est tout à fait possible de développer cette partie à la manière d'un Assassin's creed sur table... Laméthodecommerciale : et si les PJ choisissaient tout simplement de racheter Kalesha ?... eh bien ce serait laméthodela plus simple en réalité, parce que Mansour n'est pas un monstre et peut facilement se laisser émouvoir par un beau discours (et de généreuses poignées d'or). Quoi qu'il en soit, et quelle que soit laméthodeemployée, tout le monde risque d'avoir une très mauvaise surprise : Kalesha n'est plus dans le harem ! Les autres femmes de Mansour peuvent rapidement révéler qu'elle s'est enfuie la veille de l'arrivée des PJ... D'après elles, elle comptait retourner à son village loin au nord dans les steppes. (...)
Véritable organisation à Markash, les prostituées, chose étonnante en pays batranoban, sont une force avec qui il faut compter, elles ont des moyens, et correctement convaincues elles pourraient devenir les meilleures alliées des PJ s'ils décidaient d'utiliser uneméthodeautre que le commerce pour secourir leur amie. ACTE FINAL : TOUT EST BIEN QUI FINIT... MAL ! « Les histoires d'amour finissent mal, en général... » les Rita Mitsouko Pour cette dernière scène, vous allez avoir beaucoup plus de travail ! (...)PRÉAMBULE : Ce scénario pourra convenir à une équipe de trois ou quatre porteurs d'Arme débutants, et il part du principe que les Armes des PJ ont un passé commun et que les personnages eux-mêmes ne sont pas encore devenus des brutes sans foi ni loi, qu'ils sont encore capable de réfléchir et de négocier. Bon pourquoi avoir fait un scénario Bloodlust alors me direzvous ? Parce que j'adore cet univers et que j'en avais envie, et qu'il va falloir arrêter de me gonfler si vous ne voulez ...