Malédiction Rédemptrice
Contient : lac (46)(...) Les PJ échapperont donc de peu au massacre, et chercheront a retrouver la trace de l'organisateur. Cela les mènera donc aux bord des rives duLacdu LOCH NESS dans la ville d'INVERNESS, ou ils retrouveront la piste d'une des associations qui avait participé au spectacle historique. (...)
Les vents qui balayent la région peuvent être d'une rare violence et modifier en quelques secondes l'allure duLac. Celui-ci peut avoir sa surface luisante comme un miroir puis l'instant suivant être le scène d'un ballet aquatique de vagues de 2,50 mètres de hauteur. De plus, le Loch Ness a la réputation de ne pas rendre ses morts. Les eaux dulacn'excède jamais les 6° celcius et, à l'exception des tout premiers mètres, elles sont impénétrables à la lumière. (...)
Au fil de ces dernières années, les habitants des Highlands acquirent la certitudes que Nessie dévorait les victimes duLac, ce qui est totalement faux... Le Retour de Jacques De MOLAY : L e vendredi soir est un jour mythique pour Edward Mc GREGOR, et durant toute cette journée, il a passé sont temps a vérifier et a répéter son rituels d'invocation... c'est l'aboutissement de toute une vie, passée a vouloir faire revivre « un homme égal de dieu ». (...)
Dans la région du Loch Ness, En Ecosse, de très vieilles légendes rapportent l'existence de mystérieuses créatures tapies au fond dulac. Parmi celles-ci, nous comptons le mythe de Nessie, LE monstre de Loch Ness. Richesse absolue est promise à celui ou celle qui prouvera son existence. (...)
Le 'monstre' du Loch Ness et les monstres lacustres : (dernière mise à jour : 16 août 1999). Le Loch Ness est unlacd'Ecosse rendu mondialement célèbre par son hôte mystérieux, un 'monstre' aquatique familièrement surnommé Nessie. (...)
Bien qu'il y ait eu des témoignages antérieurs, c'est surtout à partir de 1933, lorsque fut construite une route longeant le loch, que les rapports sur un animal inconnu de grande taille se multiplièrent.Lelacmesure environ 39 Km de long, près de 2 Km dans sa plus grande largeur, avec des fonds de plus de 200 mètres. Son énorme masse a pour conséquence une inertie thermique qui explique que lelacne gèle jamais. 1) Quelques témoignages : - En août 1933, Mrs. M. F. MacLennan eut l'occasion d'observer le monstre à terre, près de Foyers : 'Il avait des pattes courtes, épaisses, mais bien des pattes quand même, avec une sorte de sabot comme celui d'un porc, mais beaucoup plus grand. (...)
Heuvelmans a fait remarquer que l'on signale des créatures répondant au même portrait-robot dans d'autres lacs d'Ecosse, d'Irlande, d'Islande, de Suède (lacStorsjö), de Sibérie, de Chine, du Japon, des USA (lacChamplain) et du Canada, ainsi que de l'hémisphère sud : Argentine (lacNahuel Huapi), Afrique du Sud et Australie. Tous ces lacs présentent des ressemblances morphologiques (ce sont souvent d'anciens fjords coupés de la mer), et climatologiques (ils sont situés de part et d'autre de la ligne isotherme 10° C). Figure 2 : portrait-robot de Megalotaria longicollis. (...)
) : Power et Johnson (1979) ont fait remarquer la ressemblance de la photo de Wilson de 1934 avec celle d'un éléphant d'Asie en train de traverser unlacprise à Ceylan. Nous ne pouvons résister au plaisir de citer la réponse à l'humour très british d'un lecteur du New Scientist, visiblement peu convaincu de la pertinence de cette thèse : 'Il est bien connu des habitants de Dores et de Foyers, sur la rive sud-est du loch, que des éléphants sont souvent vus dans les forêts de Glen Albyn, et leurs barrissements ont été entendus par nombre de touristes dans cette région. (...)
NESSIE : Avec 35 km de long et près de 300 m de profondeur, le Loch Ness est le plus vaste plan d'eau douce de Grande-Bretagne. Loch, en écossais, signifie 'lac'. Celui-ci est situé sur le Great Glen, une faille de l'écorce terrestre qui traverse le coeur de l'Ecosse. (...)
C'est probablement en leur honneur que les Vikings ornaient de ' dragons de mer ' la proue de leurs drakkars. En Scandinavie, autour dulacde Storsjö, on peut encore voir le matériel mis en place au XIXème siècle pour capturer un monstre local. (...)
On interdisait alors aux enfants de se baigner dans le Loch Ness, par crainte du kelpie. En 1933, une route touristique est construite sur la rive nord dulac, tandis que des arbres sont abattus pour améliorer la vue sur les eaux sombres. Aussitôt, les touristes se mettent à affluer dans la région et le nombre de ceux qui ont ' vu ' le monstre grimpe en flèche. (...)
A l'époque, le sonar et le scaphandre autonome n'existent pas encore. Les biologistes se contentent d'études sur les petits animaux et les algues microscopiques dulac. Mais, déjà, on cherche par tous les moyens à s'assurer de l'existence - ou de l'absence - d'animal fabuleux dans ces eaux tourbeuses. (...)
Les archives se remplissent de témoignages plus ou moins intéressants, tandis qu'une foule de curieux guette avec avidité la moindre manifestation inhabituelle à la surface du Loch Ness. L'autosuggestion explique beaucoup de ' preuves '. La nature dulaclui-même ne favorise pas les chercheurs : cette énorme masse d'eau est souvent très calme, avec une surface en mer d'huile, tandis que les rives escarpées projettent leur ombre inquiétante sur les rives. (...)
Dans son ouvrage, Le Monstre du Loch Ness, publié en 1934, il avance l'hypothèse selon laquelle il s'agirait d'un spécimen isolé, pris au piège dans les eaux dulac. Par la suite, de nombreux auteurs le contrediront : une quantité de témoignages affirment avoir repéré plusieurs monstres en même temps, ce qui suggérerait que lelacabrite plusieurs ' monstres '. A côté de ces témoignages oculaires, toujours fragiles, les scientifiques disposent d'un petit nombre de faits inexpliqués, notamment des échos recueillis par sonar. (...)
Ils ont, en outre, remarqué que les apparitions étaient plus fréquentes l'été, en particulier à l'embouchure des rivières qui se déversent dans lelac. Reste le problème des photographies, vraies ou fausses, du monstre. Elles sont le plus souvent fausses. (...)
Sa vitesse estimée était de l6 km à l'heure. Le second film a été tourné par Richard Raynor, le 13 juin 1967, à l'extrémité nord dulac. Il montre un sillage, à la tête duquel on aperçoit parfois un objet solide, déclaré lui aussi animé. (...)
Ce n'est qu'à partir de l970 que les chercheurs ont pu disposer de photographies sous-marines. Ce qui n'est pas forcément un avantage dans les eaux boueuses dulac. Les photographies les plus intéressantes ont été obtenues à l'aide d'un appareil à déclenchement électronique équipé d'un flash stroboscopique : elles montrent une sorte de nageoire. (...)
Au dire de certains, la chose inconnue photographiée par Robert Rines, un chercheur de l'Académie des sciences appliquées de Boston, n'était qu'un remous à la surface dulac. Il faut reconnaître que la mauvaise qualité du cliché encourage - ou décourage ! - toutes les suppositions. (...)
Pour résumer, disons simplement qu'il existe deux interprétations contradictoires de sa série de documents : soit l'appareil a touché le fond dulacet photographié de la boue, soit il a rencontré un objet non identifié entre deux eaux. Beaucoup plus décisives sont les preuves de l'existence d'une ' chose ' inconnue apportées par une détection au ' sonar '. (...)
Tucker, un groupe de chercheurs de l'université de Birmingham débarque sur les rives du Loch Ness avec un sonar digital automatique. Le 28 août, un objet qui se déplace à l2 km/h est repéré sur le fond dulac. Un peu plus tard, un autre écho donne une vitesse de 25 km/h : manifestement, il ne s'agit ni d'un banc de poissons ni d'un gros poisson isolé. (...)
La même année, le Pisces, le submersible de poche du groupe de recherches Oceanic Vickers, fait des tentatives de plongée profonde dans lelac. A 170 m de profondeur, il enregistre un écho : l'objet est à moins de 200 m du petit sous-marin. (...)
En 1968, le Viperfish, le petit sous-marin privé de l'américain Dan Taylor, se lance à son tour dans lelac. Son propriétaire, en plus des recherches au sonar, a prévu de lancer des fléchettes sur le ' monstre ', pour lui prélever des échantillons de peau. (...)
Son rêve est de permettre un premier classement de l'animal dans un cadre zoologique précis. Dans les eaux tourbeuses dulac, le petit engin ne sera pas d'une très grande utilité. Près du Loch Ness, le Loch Morar est, lui aussi, hanté par un ' monstre '. (...)
Tout comme il n'est d'ailleurs rien sorti de probant ou d'évident des nombreuses recherches au sonar effectuées dans le Loch Ness. La seule conclusion tirée des explorations au sonar tient en une phrase : il y a, dans lelac, une ou plusieurs créatures vivantes, plus grandes que des saumons, dont les mouvements sont différents de ceux des poissons, surtout en plongée. (...)
Enfin, les dauphins se sont montrés souvent assez intelligents pour refuser des travaux difficiles : il ne serait pas impossible de les voir refuser d'effectuer une mission dans lelacécossais. La tendance est plutôt, à l'heure actuelle, à un retour au sonar doublé d'un système de photographies automatiques en cas d'écho. Ces bornes photo sonar seraient disposées à différents endroits dulac, là où des observations ont déjà été rapportées. Une équipe tentera prochainement d'étudier les restes organiques qui reposent sur le fond du Loch Ness ou du Loch Morar. (...)
Si le Loch Ness abrite des ' monstres ' depuis plusieurs milliers d'années, on devrait finir par trouver leur carcasse au fond ! Ce qui aiderait à résoudre l'énigme essentielle de ce sombrelacécossais : quelle est la créature qui s'y cache ? La réponse - s'il y en a une - ne pourra être donnée qu'au terme d'une enquête rigoureuse, ayant fait appel à la zoologie, à la paléontologie, à la biologie et à cette pointe de bon sens et d'intuition qui fait avancer la science. (...)
Avant de vouloir connaître la nature de l'animal mystérieux, il faut répondre à une question élémentaire : comment des créatures de ce type ont-elles pu s'introduire et s'établir dans le Loch Ness ? Lelac, qui est à 16 m au-dessus du niveau de la mer, communique avec celle-ci par la rivière Ness. Il y a dix mille ans, quand les glaciers recouvraient l'Ecosse, la faille du Loch Ness devait communiquer avec la mer. Une fois le poids de ces glaciers disparu, le sol s'est soulevé de 16 m, isolant les eaux dulac. Les animaux qui y vivent ne sont donc là que depuis moins de dix mille ans. A peine le temps d'un clin d'oe il sur l'échelle de l'évolution. (...)
Le Loch Ness est caractérisé par sa remarquable stabilité thermique : la température générale de ses eaux ne varie guère de plus d'un demi degré tout au cours de l'année. En moyenne, les eaux dulacsont à 5,5 °C. En été, les eaux de surface peuvent monter jusqu'à 12°C. Mais cette masse plus chaude reste toujours séparée du reste des eaux par la thermocline. (...)
Si le ' monstre ' de ces eaux est herbivore, il ne doit donc trouver de la nourriture en quantité suffisante que très près des bords dulac. On le sait, les apparitions ne se font que rarement à proximité de la côte. De plus, tous les herbivores ont besoin, pour se nourrir, d'un assez gros volume de végétaux : la rareté des plantes aquatiques sur les bords du Loch Ness permet donc de penser que Nessie - c' est le nom familier donné au ' monstre ' par les Anglais - n'est pas un animal herbivore. (...)
Quand on examine la densité du plancton dans le Loch Ness, on peut mettre en doute l'hypothèse selon laquelle la créature dulacs'en nourrirait. Comme tous les lacs oligotrophes, très profonds, le Loch Ness est d'une relative stérilité. (...)
Pour nourrir décemment Nessie, il ne reste plus que le poisson. Donc, ce saumon migrateur qui abonde dans les rivières et dans les lacs écossais. Pourtant, lelacapparaît plutôt stérile aux biologistes. La chaîne alimentaire y reste précaire : peu de lumière, des eaux relativement mortes, pas assez de plancton. (...)
Trois ans plus tard, il revient vers les lieux de sa naissance pour frayer. Il peut alors peser jusqu'à 18 kg, poids auquel il parvient hors des eaux dulac. Comme les saumons ne mangent quasiment pas quand ils reviennent frayer, l'équilibre alimentaire du Loch Ness est préservé : ni les jeunes saumons, ni les adultes en âge de frayer ne risquent de bouleverser sa pauvre chaîne alimentaire. (...)
D'abord à cause de la très basse température des eaux : le froid retarde la décomposition des cadavres, ce qui permet aux anguilles, abondantes dans lelac, de nettoyer complètement les restes. Ensuite, on a remarqué que beaucoup d'animaux mi-terrestres mi-aquatiques avaient l'habitude d'avaler des petits cailloux pour se lester quand ils nagent près de la surface, où la pression des eaux n'est pas suffisante pour les maintenir immergés. (...)
Si Nessie a le même comportement, son corps doit couler très rapidement après sa mort. Nous saurons peut-être 1a vérité un jour : des essais de dragage des fonds dulacont déjà commencé. S'il existe, quel genre d'animal ce monstre peut-il bien être ? Le définir comme un prédateur marin adapté à l'eau douce et aux saumons reste un peu court. (...)
La plupart des phoques, par exemple, se sentent ' comme des poissons dans l'eau ', même à des températures très basses. Pourquoi la créature dulacne serait-elle pas une sorte de phoque à long cou ? La seule objection solide contre cette hypothèse reste le problème de la reproduction : les phoques s'accouplent sur la terre ferme et y élèvent leurs petits. (...)
En fait, chacune des pistes qui pourrait mener à la solution de l'énigme du Loch Ness soulève plus de problèmes qu'elle n'en résout. Si c'est un amphibien, comment est-il arrivé dans lelac? Si c' est un reptile, comment supporte-t-il le froid ? Si c' est un mammifère, pourquoi le voit-on si peu ? (...)
) une mystérieuse créature dont les contes parlent depuis des millénaires. ' NESSIE ', ENTRE CANULAR ET REALITE ... ' Nessie ' est l'affectueux surnom que les riverains dulacdu Loch Ness, en Ecosse, donnent au fameux monstre du même nom. Le monde entier entendit parler pour la première fois de Nessie en 1933, à la suite du témoignage d'un couple d'autochtones. (...)
Et pourtant, on a occulté quelques faits qui posent question, comme celui-ci : en 1934, le Lieutenant-Colonel Robert Kenneth Wilson, un gynécologue Londonien, était en vacances avec un ami sur les rives du Loch pour faire des photos d'oiseaux, sa passion. Alors qu'il observait lelac, il vit un bouillonnement à 300 m. de la rive et vit le monstre apparaître. Il en fit quatre clichés, dont un seul fut réussi. (...)
La grande question est donc : a-t-on une preuve scientifique que Nessie n'existe pas ? Et la réponse est assurément non. Lelacest gigantesque et très profond (jusqu'à 350 m. par endroits) et aucune expédition sérieuse n'a jamais été montée pour s'assurer une réponse fiable à cette question. (...)Un templier fanatique, Edward Mc GREGOR, descendant templier écossais du clan des Mac Kurgan décide de se venger afin de perpétuer la malédiction de Jacques De Molay (Voir chronologie en annexe). Il a retrouvé des ouvrages, des parchemins et un mystérieux sceptre ayant appartenu au Grand Maître de l'Ordre, il décida, dès son plus jeune âge de venger ses aïeules afin d'éliminer toutes les descendances royales et cléricales restantes du royaume de France. Pour parvenir a ses fins, il a prévu un ...