Les larmes de la Tsarine
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Contient : bras (5)(...) « Je vous expliquerai plus tard, suivez-moi », et elle emmène les PJ dans le sous-sol d'une maison en ruines où attendent quelques grosbrasbien armés. « Des amis », précisera l'archéologue. Juste une mise au point Juste une mise au point Julia expliquera alors la situation aux PJ: « Des hommes du commandant Iliouchine m'ont enlevé à Berlin. (...)
Rien ne semble se passer, puis chacun entend comme un battement de coeur, très lent, puis qui s'accélère... Et soudain c'est l'explosion. Raspoutine ouvre les yeux, des yeux rouges, ivres de rage. Il écarte lesbras, et les chaînes qui le retiennent volent en éclat. Il lève lesbrasau ciel et hurle une phrase dans le langage de sa secte. Julia demande à Lawrence de traduire, et ce dernier s'exécute, l'air inquiet : « Ce qui est mort doit le rester, c'est la sagesse de Dieu. (...)
Ils peuvent récupérer le professeur et tenter de fuir Raspoutine, qui tue tout ce qui bouge. Schneider et Julia s'éclipsent. Raspoutine tend unbrasvers le sol, et le navire tout entier produit un craquement sourd. Une grande gerbe d'eau jaillit du pont. (...)
Colonel Hans Schneider : Ce pur Aryen fut l'un des premiers à accorder sa confiance à Hitler, et la SS lui a logiquement tendu lesbras. Fanatique, sadique et sans scrupule, Schneider est un condensé de tout ce que l'armée allemande va créer dans les dix prochaines années. (...)Introduction : 12 Avril 1934. Les PJ sont tous des étudiants en dernière année d'archéologie à l'université du Massachusetts, à Boston. Les examens approchent à grand pas, et tous passent leur temps à étudier en vue de la terrible échéance : l'examen oral avec le Professeur Lawrence, éminent archéologue, à la fois respecté et craint par les étudiants. C'est donc entre le toast et le café du petit déjeuner que nos chers PJ reçoivent le courrier. Une lettre du Professeur Lawrence indique que le thème ...