La Voie des Anonymes
sur Pénombre au format (244 Ko)
Contient : poste (3)(...) La totalité des habitants du village (environ 160 personnes) est au courant de l'existence des Koga mais en réalité, la famille elle-même ne compte qu'une cinquantaine de membres et le reste de la communauté se contente de mener une vie ordinaire tout en aidant les Koga sur certains détails logistiques, en leur transmettant les informations glanées auprès des voyageurs et des colporteurs et surtout en les dissimulant aux yeux des samurai locaux. Depuis les origines, aucun yoriki enposteau Village des Marronniers n'a jamais rien soupçonné de ce qui s'y passait réellement. Si cela devait arriver, les Koga sont préparés depuis des siècles à réduire au silence le samurai et à laisser les preuves de sa mort au combat face à des 'bandits' , des 'ronin errants' ou autre menace du même genre. (...)
A l'époque, on n'incinérait pas encore les corps car Iuchiban n'avait pas fait parler de lui et les cadavres de deux jeunes hommes victimes d'une mauvaise fièvre quelques semaines plus tôt furent déterrés et placés dans la maison de Koga avant qu'on y mette le feu. Puis, un jeune garçon du village partit en courant rejoindre lepostede garde le plus proche et annoncer qu'une bande de brigands avait attaqué le collecteur d'impôts au Village des Marronniers. (...)
Les conquêtes des Shimizu durant leurs dernières décennies d'expansion mirent plusieurs agents Koga enpostedans certaines bourgades sous l'autorité des seigneurs corrompus et ils découvrirent rapidement que les shugenja Shimizu avaient des dons véritablement extraordinaires. (...)Le concept d'AEG : La 'famille' Koga est mentionnée le temps d'un paragraphe dans La Voie du Ninja. Du peu que l'on peut lire sur elle, il s'agit en fait des descendants d'une communauté paysanne qui durant le deuxième siècle massacra un collecteur d'impôts qui abusait de ses prérogatives. Les habitants du petit village de Koga dont AEG ne donne pas la localisation prétendirent que le samurai avait été assassiné par des hommes masqués et on les laissa en paix. Par la suite, ils fondèrent ...