Les arcanes de la folie
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I. Le commencement. En 2001, les pjs se réveillent dans le noir. Ils ne savent pas où ils sont ni comment ils sont arrivés ici. En fait, c'est le noir total, ils ne se souviennent de rien. Ils ont l'esprit embrumer et leurs sens sont quelque peu faussés. L'un d'eux sent quelque chose de liquide lui tombé sur la tête, par goutte. Au touché, c'est poisseux. Par ailleurs, il semble qu'il soit allongé dans la même substance. Après divers mouvements, il finit par trouver une lampe sur un ...Contient : téléphone (7), téléphoné(...) * Un scalpel ensanglanté traîne aux pieds du lit, probablement celui qui a mutilé les deux hommes. * Dans un tiroir de la table de nuit, il y a untéléphoneportable. Il n'a rien d'extraordinaire, excepté qu'il a un numéro enregistré en mémoire. * Si un des pjs sort dehors, il tombe dans un couloir quasiment vide aux murs qui laissent clairement voir les infiltrations d'eau. (...)
Enfin, Kurtz a fui avec la tête et les mains de Johnson, ainsi que la main de Olson pour mieux faire passer les autres ablations aux autorités. Il a aussi laissé dans la table de nuit untéléphoneportable avec un numéro qui donne directement sur le Seigneur de la Folie, afin de mener les autorités vers lui. (...)
C'est sûr, quelque chose se trame... Les sympathisants : Nous commencerons par le cas de Ronald Johnson et verrons ensuite dans la section réservée autéléphoneportable le cas de Sullivan. Le nom de Ronald Johnson va tôt ou tard se faire connaître aux pjs et ceux-ci vont probablement se renseigner sur lui. (...)
Ce qui s'est passé, c'est que Stevens Kurtz est venu chez Johnson et a demandé à lui parler de quelque chose. Il lui a dit que sa vie était menacée et qu'il devait partir. Il l'a faittéléphonéà sa secrétaire pour la prévenir et ensuite, alors que l'homme avait le dos tourné, l'a abattu d'une balle en pleine tête, grâce à son silencieux qu'il avait fabriqué lui-même. (...)
Ce détail particulier ne trompe pas : l'homme est dès lors identifié comme étant Ronald Johnson. Letéléphoneportable : Afin de s'assurer que son pion lui donnerait de bonnes informations, l'autre s'était assuré qu'il pourrait le joindre à tout moment. Ainsi, il avait laissé un numéro detéléphoneà Kurtz qui pourrait ainsi le joindre sur son portable. En faisant cela, Kurtz devait aussi dire la phrase rituel « Mes louanges, mon maître... » qui avait pour effet de faire sortir immédiatement la seconde personnalité de Sullivan (grâce à de l'auto hypnose). (...)
Si les pjs téléphonent, ils vont tomber nez à nez avec David Sullivan. Si la phrase rituelle n'est pas dite, la personnalité première restera et David demandera qui luitéléphoneet comment ces personnes ont obtenu ce numéro. La suite dépend des pjs et du stade avancé de leur enquête. (...)
Si jamais les pjs découvrent toute la vérité grâce à Mrs Evelyne Sullivan, le fait de le narguer autéléphoneou de lui dire qu'ils tiennent sa grand-mère en détention ne fera que le rendre encore plus fou furieux. (...)