Carthago Delanda est
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Préambule historique : La troisième guerre punique (149 -? 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématie romaine dans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. Les Romains entrèrent en contact avec les Grecs, d?abord en Italie méridionale puis en Sicile, et plus tard à l'est, adoptant une grande partie de l'?art, de la ...Contient : père (23)(...) Ses parents étaient de modestes artisans des faubourgs de Rome, et il s'apprêtait à prendre la suite de l'affaire de sonpèrelorsqu'il fut emmené dans la légion, à 17 ans. Après 7 ans de guerre en Afrique du nord, sous le commandement de Cneius Maelius, il retourne à Rome pour découvrir que ses parents sont morts et leurs biens vendus. (...)
Il prend tr s vite son destin en main, et monte à grande vitesse les échelons du parti des populares, jusqu'à devenir Tribun, il y a à peine deux ans. Lucius Aurelius (Sénateur patricien) : Lepèrede Lucius Aurelius était un puissant Sénateur des Optimates, extrémiste dans ses pensées et ses actes. Dès son plus jeune âge, Lucius est endoctriné et suit très rapidement la voie de sonpère, qui était à l'époque un opposant farouche du consul Caius Marius et de ses alliés, responsable en grande partie de leur chute. (...)
Elle apprend très vite à écouter attentivement toutes les informations qui circulent par la Domus de sonpère, et s'attache à les utiliser à son avantage. Elle est de tous les événements sociaux de Rome (toutes les orgies organisées par les puissants). (...)
Tout en se faisant passer, tout comme son amie Laevinia, pour un agent de Caius Marius, la plupart de ses informations profitent en fait à sonpère, qui utilise ses informations pour stabiliser et affermir sa situation politique au sein de Rome. (...)
Ces derniers ont pour tâche de restaurer les anciens parchemins, et à veiller à ce que le patrimoine de l'état Romain ne soit pas perdu. Albinus Pompeius :Pèredu grand Pompée, Albinus Pompeius est, après le sénateur patricien Lucianus Cracius, le plus puissant opposant à Caius Marius. (...)
Antoninus, bien qu'ayant été présent lors de l'orgie, est introuvable, mais à force d'en quête, il est établi qu'il a été entraîné par de joyeux fêtards (en réalité des hommes de main de Flavius Licinius, un fervent partisan de Sylla) peu avant l'assassinat de sonpère. Une pour suite peut éventuellement s'engager, les joyeux fêtards n'ayant que peu d'avance, mais cette poursuite tournera court dans les environs de la villa de Flavius Licinius ou à l'amphithéâtre (où sont organisés les jeux du cirque). (...)
Cependant, Flavius Licinius n'est pour rien dans l'assassinat du tribun, car il escomptait faire pression sur lepèrepour qu'il renonce à sa future charge de consul, et interroger le fils sur les projets dupère. Mais la mort imprévue du tribun rendit inutile cet interrogatoire, et dès lors, dans la hâte, le patricien décida de se débarrasser du fils gênant, au petit matin ou tard dans la nuit, en le revendant au Lanista (le dresseur de gladiateurs), pour le combat au Cirque. (...)
Marhabal est l'arrière petit fils d'Hamilcar, et il a une revanche à reprendre contre les Romains. SonpèreHimilco avec ses armées lutta bravement au nom de Moloch Baal contre les armées de Scipius Aemilianus avant de s'immoler par le feu, tout comme son cousin Hasdrubal et sa femme. Son grandpèreMago fit de même des années auparavant, en participant à la victoire de Cannes en 547 AR, mais il fut défait et sérieusement blessé quelques années plus tard par le s armées de Scipio Africanus, et contraint à la retraite en Afrique du Nord. (...)
Les acteurs enchaînent aussitôt sur une nouvelle pièce de Sophocle, qui se déroule à l'époque d'Alexandre le Grand en Macédoine. La pièce commence par une réception donnée par le Roi Philippe (lepèred'Alexandre le Grand), alors que les préparatifs de guerre contre l'empire perse sont achevés. Mais dans la nuit, le roi Philippe est assassiné dans son palais, alors que les convives sont toujours l'à festoyer (fin du premier acte). (...)
Le troisième acte s'ouvre sur Alexandre, en colère devant l'incompétence de ses enquêteurs, à qui il ordonne une mission difficile dans l'Empire Perse, pour retrouver les meurtriers de sonpèreet empêcher que le plan d'attaque développé par sonpèrene soit dévoilé à son ennemi le Roi des Rois Darius III Codoman. Les acteurs montrent les périls vécus par les grecs jusqu'à Persepolis. (...)
Il n'est pas trop difficile de repérer le lieu, pour y voir un cadavre d'enfant gisant sur le sol, avec du sang se répandant partout, y compris sur les aventuriers. Lepèretenant la hache à la main est insensible au fait qu'il a tué son propre fils, il l'a fait pour Baal Moloch. (...)
Il commence à faire de même avec un aventurier, tandis que le brouillard s'intensifie. Lorsque la brume se lève, lepère, l'enfant, le sang, l'aventurier attaqué ont tous disparu. - une femme aux cheveux noirs hèle les aventuriers, et demande aide pour son mari dans la maison, qui souffre d'une grave blessure. (...)
C'est d'ailleurs à partir de ce manuscrit et de tant d'autres que Ludvig Prinn a écrit De Vermiis Mysteriis (Les Mystères du Ver) en latin, quelque 16 siècles après ce scénario (les multiples formes de Nyarlathotep, le culte et la légende de Nephren Ka, les différentes incarnations de Nitocris - dont une à l'époque de nos aventuriers, les entités tel quePèreYig, Han le Sombre, Moloch Baal, le dieu crocodile Sebek, Byatis à la barbe de serpents). Ce manuscrit détaille les différents cultes de l'Egypte Antique, et mentionne l'existence d'une reine maléfique qui a jadis régné en Egypte durant la Vième Dynastie et qui aurait conclu un pacte avec le diable (Nyarlathotep) pour vivre sept vies. (...)
La cérémonie a partiellement réussi, car la fille est désormais en ceinte du fils de Cthugha (ce dernier a réussi à insérer une partie de son essence), et le fils cherchera inévitablement à accomplir la volonté de sonpèred'ici vingt à trente ans, peut Etre à la faveur de la révolte des gladiateurs conduits par Spartacus. (...)
Ses parents étaient de modestes artisans des faubourgs de Rome, et il s'apprêtait à prendre la suite de l'affaire de sonpèrelorsqu'il fut emmené dans la légion, à 17 ans. Après 7 ans de guerre en Afrique du nord, sous le commandement de Cneius Maelius, il retourne à Rome pour découvrir que ses parents sont morts et leurs biens vendus. (...)
Il prend très vite son destin en main, et monte à grande vitesse les échelons du parti des populares, jusqu'à devenir Tribun, il y a à peine deux ans. Lucius Aurelius (Sénateur patricien) Lepèrede Lucius Aurelius était un puissant Sénateur des Optimates, extrémiste dans ses pensées et ses actes. Dès son plus jeune âge, Lucius est endoctriné et suit très rapidement la voie de sonpère, qui était à l'époque un opposant farouche du consul Caius Marius et de ses alliés, responsable en grande partie de leur chute. (...)
Elle apprend très vite à écouter attentivement toutes les informations qui circulent par la Domus de sonpère, et s'attache à les utiliser à son avantage. Elle est de tous les événements sociaux de Rome (toutes les orgies organisées par les puissants). (...)
Tout en se faisant passer, tout comme son amie Laevinia, pour un agent de Caius Marius, la plupart de ses informations profitent en fait à sonpère, qui utilise ses informations pour stabiliser et affermir sa situation politique au sein de Rome. (...)