Carthago Delanda est
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Préambule historique : La troisième guerre punique (149 -? 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématie romaine dans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. Les Romains entrèrent en contact avec les Grecs, d?abord en Italie méridionale puis en Sicile, et plus tard à l'est, adoptant une grande partie de l'?art, de la ...Contient : riches (15)(...) art, de la littérature, de la philosophie et de la religion de la Grèce Antique. L'?évolution de Rome, Etat-cité, en empire (Etat territorialement étendu et maître de provincesricheset civilisées), par le biais de guerres longues et continuelles (guerres samnites pour le contrôle de l'? (...)
Mais ces réformes provoquèrent l'hostilité des grands propriétaires, et déboucha sur l'assassinat des deux tribuns réformateurs et par l'opposition toujours plus violente entre les populares (ou démocrates) et les optimates (les aristocrates, avec les anciennes familles patriciennes et plusieurs familles plébiéiennes extrèmementriches), la classe intermédiaire des chevaliers faisant le va-et-vient de l'une à l'autre au gré de leurs intérêts de nouveauxriches. Les luttes sociales dégénèrent en guerres civiles et en anarchie quand des chefs, forts de leur richesse et de leur audace, bousculèrent la légalité et essayèrent d'imposer leurs vues en levant des armées personnelles, entretenues à grands fais. (...)
Les Romains entrèrent en contact avec les Grecs, d'abord en Italie méridionale puis en Sicile, et plus tard à l'est, adoptant une grande partie de l'art, de la littérature, de la philosophie et de la religion de la Grèce Antique. L'évolution de Rome, Etat-cité, en empire (Etat territorialement étendu et maître de provincesricheset civilisées), par le biais de guerres longues et continuelles (guerres samnites pour le contrôle de l'Italie, guerres puniques) provoqua une transformation profonde et parfois tumultueuse de la structure sociale. (...)
Mais ces réformes provoquèrent l'hostilité des grands propriétaires, et déboucha sur l'assassinat de s deux tribuns réformateurs, et par l'opposition toujours plus violente entre les populares (ou démocrates) et les optimates (les aristocrates, avec les anciennes familles patriciennes et plusieurs familles plébéiennes extrêmementriches), la classe intermédiaire des chevaliers faisant le va-et-vient de l'une à l'autre au gré de leurs intérêts de nouveauxriches. Les luttes sociales dégénérèrent en guerres civiles et en anarchie quand des chefs, forts de leur richesse et de leur audace, bousculèrent la légalité et essayèrent d'imposer leurs vues en levant des armées personnelles, entretenues à grands frais. (...)
Corus Maler (Tribun de la plèbe) : Agé de 37 ans, Corus Maler est l'étoile montante du parti des populares, initié aux rites Egyptiens du Dieu Amon, et son charisme lui ouvre de nombreuses portes au sein du milieu politique de la Rome immortelle. Issu d'une famille derichescommerçants, son enfance est consacrée à l'apprentissage des choses de la guerre, et de la politique, son mentor étant Caius Marius, personnage haut en couleurs de la politique romaine. (...)
Le mariage ne commença pas sous les meilleurs augures, mais rapidement ils en vinrent à se respecter, faute de s'aimer. Livia s'intéressa rapidement aux informations qu'elle pouvait grappiller aux femmes desrichesnégociants qui venaient acheter leurs esclaves chez son mari. Elle devint rapidement une habile manipulatrice, et parvint à s'élever très rapidement dans la hiérarchie des femmes fortes de Rome. (...)
- Le marché aux esclaves : Un marché haut en couleur et bien vivant, les étals se jouxtant, avec de nombreux marchands vantant haut et fort la qualité de leur marchandise, avec des raretés comme des Indiens ou des Chinois vendus très cher. Si Helyodès est présent, il y vend, à derichescarthaginois ou romains de superbes athlètes provenant de Thrace ou d'Egypte. Il n'est pas bien difficile de s'y rendre, mais et pour instiller un peu plus de danger, un affranchi et ses amis peut très bien reconnaître Caius Caecilius, celui qui l'a jadis vendu en tant qu'esclave sur ce même marché, et lui faire la fête. (...)
Les Romains entrèrent en contact avec les Grecs, d'abord en Italie méridionale puis en Sicile, et plus tard à l'est, adoptant une grande partie de l'art, de la littérature, de la philosophie et de la religion de la Grèce Antique. L'évolution de Rome, Etat-cité, en empire (Etat territorialement étendu et maître de provincesricheset civilisées), par le biais de guerres longues et continuelles (guerres samnites pour le contrôle de l'Italie, guerres puniques) provoqua une transformation profonde et parfois tumultueuse de la structure sociale. (...)
Mais ces réformes provoquèrent l'hostilité des grands propriétaires, et déboucha sur l'assassinat des deux tribuns réformateurs, et par l'opposition toujours plus violente entre les populares (ou démocrates) et les optimates (les aristocrates, avec les anciennes familles patriciennes et plusieurs familles plébéiennes extrêmementriches), la classe intermédiaire des chevaliers faisant le va-et-vient de l'une à l'autre au gré de leurs intérêts de nouveauxriches. Les luttes sociales dégénérèrent en guerres civiles et en anarchie quand des chefs, forts de leur richesse et de leur audace, bousculèrent la légalité et essayèrent d'imposer leurs vues en levant des armées personnelles, entretenues à grands frais. (...)
Corus Maler (Tribun de la plèbe) Agé de 37 ans, Corus Maler est l'étoile montante du parti des populares, initié au rites Egyptiens du Dieu Amon, et son charisme lui ouvre de nombreuses portes au sein du milieu politique de la Rome immortelle. Issu d'une famille derichescommerçants, son enfance est consacrée à l'apprentissage des choses de la guerre, et de la politique, son mentor étant Caius Marius, personnage haut en couleurs de la politique romaine. (...)
Le mariage ne commença pas sous les meilleurs augures, mais rapidement ils en vinrent à se respecter, faute de s'aimer. Livia s'intéressa rapidement aux informations qu'elle pouvait grappiller aux femmes desrichesnégociants qui venaient acheter leurs esclaves chez son mari. Elle devint rapidement une habile manipulatrice, et parvint à s'élever très rapidement dans la hiérarchie des femmes fortes de Rome. (...)
Horodès est présent pour assister aux Jeux, ainsi que pour s'enrichir en revendant à prix d'or ses esclaves auxrichesgrecs ou romains établis en Grèce, en relation étroite avec Caius Caecilius. Il est là pour négocier des accords commerciaux juteux avec Adroclès et Dâdarshi. (...)