Le Périple des Sept
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Le Mythe de Cthulhu est intemporel. Suivant l'exemple des scénarios présentés dans le recueil « Etranges Epoques » et des scénarios Rome Antique, Chine et Egypte/Babylone des trois années précédentes, voici un scénario se déroulant dans l'Empire Perse (Memphis, Babylone, Persepolis, Pasagardes), à la veille de l'avènement de Darius 1er de la dynastie Achéménide. Si vous avez besoin de conseils ou d'éclaircissements, n'hésitez pas à me contacter sur Internet (edubourg@clubinternet. fr). Ce scénario ...Contient : démons (20)(...) Brève chronologie : -2700 Gilgamesh, cinquième roi d'Uruk en Sumer, et son ami Enkidu affrontent lesdémonsqui menacent l'humanité (ce qui deviendra l'épopée de Gilgamesh). L'épopée relate sa rencontre avec le géant Khumbaba, qui répand la terreur dans la montagne, avec Enkidu qui est d'abord l'ennemi de Gilgamesh avant de devenir son ami, sa lutte contre lesdémonsPazuzu et Anzu pour la possession des Tablettes de la Destinée. LesdémonsPazuzu et Anzu sont emprisonnés, mais pas suffisamment rapidement car Anzu a le temps de proférer une terrible malédiction, en prédisant qu'il serait libéré par les descendants de Sumer. -2600 Invoqués par Anzu, les esprits maléfiques, autrement nommés les Insectes de Shaggaï, les serviteurs d'Anzu arrivent sur Terre. (...)
Les deux premiers objets pour chaque aventurier sont assez inhabituels, et il va de soi que si un aventurier décide de s'en défausser à n'importe quel moment du scénario, l'objet en question revient quelques heures plus tard en possession du dit aventurier. Ce n'est pas facile de se débarrasser des objets desdémonsPazuzu et Anzu, et la vente ne fait pas partie de ces moyens, comme a pu le constater Hydarnes. (...)
Qui comprend les symboles pourra dénicher dans un lointain passé les tablettes de la Destinée, tablettes qui selon la légende ont été dérobés par lesDémonsPazuzu et Anzu. Les sept premiers symboles sont tous simplement les noms des aventuriers translittérés en symboles cunéiformes, les sept symboles suivants sont par ordre Uruk (la cité de Gilgamesh), Pacte, Tablette, Gilgamesh, Vieillard, Ziggourat et Soleil. (...)
Les objets des aventuriers : Il va de soi que le pauvre vieux prêtre du temple de Thoth, qui se nomme Djesis et qui a véritablement du mal à marcher, peut aider les aventuriers à trouver quelques réponses sur leurs mystérieux objets, mais il ne sait pas grand chose, outre le fait qu'il reconnaît que certains objets font référence à desdémonsdirectement ou indirectement, comme les objets 2, 6 et 8. La bibliothèque de Thoth peut être une importante source d'information (voir secrets des objets et seconde partie), mais veillez à ne pas trop dévoiler les mystères. (...)
Malheureusement, pour les trouver, il faut beaucoup, beaucoup de chance. Les traités fournissent des informations sur lesdémonschaldéens, assyriens et/ou perses, détaillent l'influence sumérienne sur les civilisations qui ont suivi (certains objets que les aventuriers possèdent sont clairement représentés dans le traité, notamment les objets 1, 9, 14 et 26), des comparaisons entre les magies chaldéenne, égyptienne et perse, 28 sorts à utiliser contre la maladie, la malchance, la sorcellerie ou les esprits, la religion chaldéenne. (...)
Les Manuscrits Pnakotiques : Dans les Manuscrits Pnakotiques, il y a quelques références éparses auxdémonsPazuzu et Anzu, qui auraient été des dieux adorés de l'Hyperborée. Il y a d'indiqué un rituel d'invocation à Anzu. (...)
De loin en loin, il y a des constructions en pierre massive, sur laquelle sont inscrits des signes totalement incompréhensibles, et quelques dessins qui font ouvertement penser au dieu crapaud Tsathoggua, auxdémonsPazuzu et Anzu, les trois entités étant en affrontement l'une contre les deux autres. Il existe trois moyens pour se sortir de cette époque. (...)
L'objet 10 est totalement inconnu au bataillon. Et enfin, l'objet 21 représente le conflit entre les deuxdémons, encore un objet lourd de menaces. Les tombes des rois d'Uruk : Ce qui signifie en langage clair : les aventuriers doivent aller soit dans le tombeau de Gilgamesh, soit dans le tombeau du roi juste enterré, Urlugal II (les deux tombes communiquent entre elles). (...)
Le principal problème ne vient pas tant des gardes mais des habitants, qui viennent assez régulièrement se recueillir devant la tombe de Gilgamesh, héros qui selon la légende a libéré la cité des géants qui la menaçaient, desdémonsqui la tourmentaient, et qui est mort en un âge assez avancé. Il y a juste devant la tombe une statue de Gilgamesh et son ami Enkidu. (...)
Le péristyle : quatre colonnes de style égyptien qui vante le courage et le renom de la descendance de Ramsès II. Plusieursdémonsapparaissent sur les colonnes. Il y en a en tout sept, et lesdémonsont une étrange ressemblance avec tous les aventuriers. Il y en a un huitième, sur le toit du péristyle, qui est sculpté avec des ailes de démon, Otanès. (...)
D'autres les estiment comme des véritables prêtresses qui avaient pour mission de chanter des hymnes aux dieux et de leur transmettre les sacrifices offerts par le peuple. Parfois on leur amenait des gens hantés par de cruelsdémonsqu'elles devaient essayer d'exorciser. Dans certains cas, elles pouvaient même se marier, si elles le désiraient. (...)
C'est également ce dieu protecteur que les babyloniens assimileront plus tard à des bons génies seuls susceptibles de pouvoir les protéger contre les mauvaisdémonsqui veulent leur perte. Ainsi le petit peuple et même l'esclave gardaient en eux l'espoir d'une vie meilleure dans un autre monde. (...)
Nabonide fut élu et installé en -555 pour régner sur l'empire de Babylone, pervers et superstitieux, il était un adepte du dieu lune Sin ou Nanna (le premier fils d'Enlil). Or une croyance attribuait la disparition des quartiers de lune à l'influence desdémons. Lorsque Nabonide déclara qu'il voulait remplacer au sommet du panthéon des dieux, le grand Marduk et même le dieu Enlil par le petit dieu Sin, des rumeurs coururent à Babylone que Nabonide était devenu fou et qu'il adorait lesdémons... La Bible attribua cette maladie non pas à Nabonide mais à celui que les juifs haïssaient le plus Nabuchodonosor II. (...)
Au bout de 100 jours, le monarque reprenait sa place; le malheureux délégué et sa femme étaient alors exécutés, probablement pour accorder aux dieux la mort du souverain qu'ils avaient annoncée. Les rois comme les sujets se croyaient entourés de hordes dedémonset de dieux. Le plus odieux et le plus redouté de ces esprits maléfiques était la déesse de la fièvre, Lamashtou, qui se complaisait au meurtre des enfants et des femmes enceintes. (...)
Ils se trouvaient ainsi à l'origine de tous les maux. Par bonheur, les Assyriens estimaient que cesdémonsétaient particulièrement crédules. Par l'intervention d'un exorciste, appelé ashipou, ils pouvaient être facilement bernés. Les exigences des dieux et les attaques desdémonslimitaient l'autorité royale. Aucun souverain assyrien ne pouvait prendre une décision sans consulter une foule de prêtres, d'oracles, de devins, d'astrologues, de diseurs de bonne aventure qui constituaient de véritables puissances à l'ombre de la monarchie. (...)