Les Lettres de Kratis Gron aux orks de Barsaive
sur Mahar : Les Parchemins de l'Archiviste au format (188 Ko)
Contient : sol (5)(...) C'est alors que nous sommes arrivés, vêtus d'étincelantes cottes de mailles. Nous avons accepté quelques bourses d'or des habitants et notre bataille a duré jusqu'à ce que lesolsoit gorgé de sang. Alors que nous nous dispersions, les deux camps échangèrent quelques cris joyeux. (...)
A la fin du jour, chevaux et cavaliers étaient éparpillés tels des jouets d'enfants, gémissant et mourrant sur lesol. Alors que les deux tribus se dispersaient, elles jurèrent que la guerre durerait éternellement, car rien ne pourrait laver leur honneur souillé. (...)
Est-ce cette même passion que nous invoquons lorsque nous élançons nos plus rapides coursiers le long de falaises rocheuses qui feraient trembler de terreur un navigateur aérien ? Est-ce Elle que nous appelons lorsque nous sommes immobilisés ausol, étouffant sous la prise, la respiration lourde, la vue embrumée et, parvenant tout de même à hurler à notre adversaire et à la terre entière ? (...)
Une fois, nous avons senti le Courage dans nos veines, et notre cause a plu à Tranko, chaque jour de nos vies. Nous avions un royaume nommé Cara Fahd, et sonsolvibrait tel un tremblement de terre sous la charge de vingt mille cavaliers montant chevaux, thundras et griffons. (...)
Il voit des gens qui sont satisfaits, un peuple qui ne souhaite plus de changement si cela doit leur apporter des difficultés, moins d'argent, unsolfroid pour lit au lieu de douces plumes. Il voit un peuple dont les lèvres murmurent son nom tandis que leurs coeurs en sont vides. (...)Traduction des 4 lettres de Kratis Gron inspirées par les passions, pour réveiller la flamme des orks de barsaive. Aux Orks de Barsaive, Je suis un troubadour, et je vais vous conter une histoire. Bien que vous l'ayez entendu de nombreuses fois depuis votre naissance, je ne pense pas que vous connaissiez cette version. Essayez d'être patient, bien que ce conte puisse vous sembler étrange et, parfois, familier. « Il y a fort longtemps, dans des temps oubliés de l'Histoire, vivaient au centre ...