Les Sources Psioniques III
sur La Scénariothèque au format (1.2 Mo)
Contient : chair (9)(...) projection astrale, ancre spatiotemporelle Psychométabolisme Sci. drainage de vie Dév. contrôle corporel, force augmentée, armure dechair, élongation, contrôle spirituel du corps. En plus de leur résistance magique de 40%, les psulorns ne peuvent être endormis, immobilisés ou charmés et sont touchés par les armes +1. (...)
Cependant, c'est un carré parfait qui suit les contours de la forteresse, et les quatre angles présentent un long levier d'argent, dont la forme suggère un amas d'yeux globuleux et de gros glomérules dechair. Si ce levier est abaissé, une portion du sol, servant d'ascenseur, se détachera pour porter les aventuriers au niveau supérieur. (...)
Quatre Psulorns sont à leur poste de travail en train d'analyser l'anatomie de leur spécimen. L'un d'eux utilisera au combat un stylet d'argent qui projette un rayon rouge destiné à ouvrir lachairprécisément (1d8+2 pts d.). Une fois les monstres éliminés, on peut quitter le laboratoire soit par un large escalier de marbre qui monte en demi spirale, soit par un vitrail de cristal noir qui s'ouvre comme une corolle lorsqu'on se trouve à moins d'un mètre. (...)
Le dernier étage de la forteresse psulorn est le plus terrifiant. Il est moitié mécanique, moitié organique, constitué de tuyaux noirs recouverts partiellement dechairrougeâtre frémissante. Au milieu de l'étage, qui n'est barré d'aucun mur, se trouve une sorte de puits en corne d'abondance, qui plonge dans les tréfonds de l'étrange cité. (...)
Regarder ce qu'il y a dans le puits nécessitera l'escalade de ses parois visqueuses et traîtresses, le plus sûr étant de planter des objets pointus dans lachairmolle dont il est constitué pour assurer ses prises. Une fois sur le bord, il y a huit chances sur 1d10 pour glisser sur l'intérieur comme une patinoire et se retrouver au fond le round d'après. (...)
Ses menaces mentales sont si destructrices pour l'esprit qu'un Js contre la Paralysie et nécessaire et que ceux qui l'échouent choieront dans le bassin, déconnectés de la réalité pour 1d6 rounds, sachant qu'ils s'y noieront en 1d4 rounds en l'absence de mouvements (il est impossible de nager avec une armure meilleure qu'une cuirasse). Les murs et le plafond sont recouverts dechairrose parcourue par des vaisseaux violacés dont certains sont abîmés et suintent un épais mucus noir. (...)
En effet, les visites de créatures du Plan Primaire sont aussi rares qu'elles sont attendues, car ceux qui vivent ici-bas trouvent leurchairsucculente, encore plus que les crépitements qu'elle fait en se consumant. Ils ne manquent pas d'attirer l'attention, et distraient ainsi immédiatement de leurs guerres intestines les prédateurs de ce monde impitoyable, qui en font leur nouvelle proie. (...)
C'est dans cette partie enfouie que se trouve le temple abandonné ; les habitants morts incapables de reposer en paix ont tous fusionné en une entité monstrueuse, un fantôme énorme ressemblant à un amas dechair, où apparaissent tous les visages des malheureux. Si Celui qui Appelle dans les Ténèbres et tué, les aventuriers se rendront compte qu'il cachait un secret plus mortel encore, enfoui loin dans les abîmes de la Mer Pulvérulente. (...)
Il ne peut plus retirer les objets, son corps a doublé de taille, et sa peau est couverte d'excroissances dechairrosâtre frémissante et répugnante. Comme si un mal ne suffisait pas, une autre tribu esclave, la Maison Werrik, traque les Razzieurs pour le compte d'une cité-état, et elle empêchera les aventuriers d'approcher le campement des sables noirs. (...)Episode V : Les Grottes de Jaspe. Les Vainqueurs de Llaoh : Aux portes de la mort, l'elfe, qui retrouve peu à peu son corps d'avant la transformation draconique, s'agenouille devant les aventuriers qui rengainent leurs armes (l'achever dans cette position de faiblesse coûte 5000 PX à un combattant). Un flot de sang bleuâtre s'échappe de sa bouche et dégouline sur le tapis rouge brodé d'or de sa somptueuse demeure. Les yeux vitreux, le teint livide, il déclame ses dernières paroles : « ...