Les labyrinthes de la douleur
sur The Case of Kimble au format (178 Ko)
Contient : marches (2)(...) Un escalier branlant permet de monter à l'étage, si les Pjs ne prennent aucune précaution avant de monter, lesmarchesde l'escalier cèdent et le Pj chute causant une Perte de 1D3 points de vie. En haut de l'étage, toutes les cloisons ont été enlevées, il ne reste que les murs porteurs et quatre grosses colonnes de brique. (...)
Toutes les chambres sont vides excepté une, où Bölker, Roméro et Vicky Preston sont pendus par leur pied se vidant encore des quelques gouttes de sang qu'ils leur restent... Derrière le comptoir de poussiéreux, se tient une lourde trappe en bois avec un anneau en fer forgé qui sert de poigné, une fois soulevée, elle donne sur une flopée demarchessinistres qui descendent dans la pénombre. La cave est éclairée par des torches, et au milieu de la pièce se trouvent les mêmes civières trouvées dans le camion, mais elle ne sont pas vides, des enfants de tous âges sont étendus, le visage, éclairé par à la lueur des torches, sont blafards, on remarque que certains portent des cicatrices sur tout le visage, pour d'autres ce sont des tuyaux partant d'un réservoir contenant un liquide verdâtre et finissant leur course dans les membres, dans les orbites ou dans les oreilles des enfants. (...)Le spiritisme et tout ses dérivés étaient très en vogue au début du siècle, d'ailleurs de nombreux cercles ésotériques furent crées à Londres, la capitale du monde... C'est dans cette ville, en 1902, que Charles Gales, médecin de bonne famille y goûta pour la première fois. Ces petites séances lui permettaient de souffler, de décompresser et un peu d'oublier ses nombreuses heures de travail. Là, il se prit d'amitié avec Santini, un petit scientifique de Liverpool. Très vite, ils y tissèrent ...